Jacques a écrit :...Regardez en haut, sous le titre du forum, vous avez une fonction recherche. Mais si vous posez une question à laquelle il a déjà été répondu, Claude se fera un plaisir de vous renseigner...
À bon entendeur, salut ! Madame la marquise. Et ne vous gênez pas, ce sera avec un plaisir non dissimulé, sinon je vais m'encroûter.
PS : En voulant chercher la différence exacte entre asexué et bisexué, j'ai trouvé que Claude est un prénom épicène ;quel joli qualificatif !
Pardonnez-moi, chère marquise, de « chipoter » sur les mots, et, sans vous vexer, deuxième sexe m'embarrasse, car cela sous-entendrait qu'il en existe un troisième, ce que laisse aussi supposer l'étrange nom anglais du « Middlesex ». Je choisirais donc second sexe, si cela vous agrée.
Il fallait bien vous taquiner un peu pour votre intronisation ! Maintenant vous êtes vraiment des nôtres.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
"Le deuxième sexe", je ne faisais que citer, bien humblement, Simone de Beauvoir, qui a sa place dans cette discussion.
y a-t-il encore des épreuves, bizutage et autres rites de passage?
On ne s'ennuie pas chez vous? Cela me plaît!
Avec tout mon amitié
Sévigné
Non, le bizutage est terminé, vous avez subi l'épreuve avec succès. Notre fierté, c'est de pouvoir discourir sur des sujets fort sérieux en y mêlant une pointe d'humour.
Vous me rendriez un immense service si vous connaissiez le nom de celui qui a dit : « Une journée où l'on n'a pas ri est une journée perdue ».
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Madame de Sévigné a écrit :Alors, Claude, et sororité? Mot que je ne trouve pas dans les dictionnires. Merci d'avance pour vos lumières.
Bonjour, j’ai trouvé sororité dans le TLFi:
SORORITÉ, subst. fém. A. – 1. Communauté de femmes. La communauté des dévadâsîs [prostituées sacrées en Inde] ressemblait plus, en fait, à une sororité de nonnes (admettant à côté d’elle des frères convers) qu’à une caste véritable groupant des familles régulièrement constituées (J. VARENNE, Le Tantrisme. La Sexualité transcendée, 1977, p. 127). 2. Association ou résidence d’étudiantes aux États-Unis. Nous étions arrivés à hauteur de la sororité d’Elizabeth, une maison sudiste traditionnelle, réplique des fraternités de mon propre collège (Ph. LABRO, L’Étudiant étranger, 1986, p. 212). B. – [Dans le lang. féministe] Rapport de similitude, de solidarité qui unit les femmes en tant que partageant pareillement la condition féminine. Le féminisme j’en ai MARRE! (...) est-ce que tu te sens comme un agneau terrifié chaque fois que tu rentres chez toi à onze heures du soir? – non – mais en le disant tu bafoues la sororité (Cl. BRÉTECHER, Les Frustrés ds Le Nouvel Observateur, 16 janv. 1978, p. 63, col. 2).
Communauté de femmes : le mot est donc dérivé de sœur ; cette origine se révèle quand on découvre la définition. A priori on n'y penserait pas. Je suppose qu'il est l'équivalent féminin de fraternité.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Jacques a écrit :Vous me rendriez un immense service si vous connaissiez le nom de celui qui a dit : « Une journée où l'on n'a pas ri est une journée perdue ».
Selon ce que j'ai trouvé sur Internet, il s'agirait de Voltaire.
On y trouve aussi, de Chamfort : « La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri »
Jacques a écrit :Vous me rendriez un immense service si vous connaissiez le nom de celui qui a dit : « Une journée où l'on n'a pas ri est une journée perdue ».
Selon ce que j'ai trouvé sur Internet, il s'agirait de Voltaire.
On y trouve aussi, de Chamfort : « La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri »
Merci, il me semble que la seconde est celle qui s'en approcherait (bien que je ne connaisse pas la première).
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