Rendre la pareille en bien ou en mal.

[Leclerc92]

Là, il n'y a évidemment aucun problème (d'autant d'ailleurs que le pronom personnel « l' » est épicène !).
Il en va différemment de l'article "la" que vous aviez proposé plus haut : Ce que j'ai écouté c'est la "mi".

[Deleted User 2577]

Si je peux dire la note DO ou le son DO.
Leclerc92, je voudrais que vous écoutez la note DO et *la SI aussi.
Quel est le problème ?
Je parle encore sérieusement.

Dans notre exemple, le/la DO et SI ont une double nature : ces mots sont masculins si l'on parle sous la forme du son et ils sont féminins sous la forme de l'écriture. Ils sont bidirectionnels.

[Leclerc92]

Le problème est simplement que vous ne pouvez pas dire "la SI", même si vous croyez sous-entendre "la note". En français, il faut alors répéter "la note SI".
De le même manière, on ne peut pas dire, en parlant de lettres, j'écris la lettre i et la a. On est obligé de dire le a ou la lettre a.

[Deleted User 2577]

Le problème est simplement que vous ne pouvez pas dire "la SI", même si vous croyez sous-entendre "la note". En français, il faut alors répéter "la note SI".
De le même manière, on ne peut pas dire, en parlant de lettres, j'écris la lettre i et la a. On est obligé de dire le a ou la lettre a.

Je vous comprends Leclerc92 mais on ne devrait pas d'empêcher faire cette factorisation. En français de nos jours on l'utilise souvent. Savez-vous de quoi je parle ?
J'écris la lettre i et la a aussi. Cette phrase est correcte. Faisons des recherches !

[Leclerc92]

L'usage est complexe et capricieux. Il y a certainement des mots qui peuvent se factoriser, comme vous dites, plus facilement que d'autres. À mon humble avis, "note" n'en fait pas partie, et "lettre" probablement pas plus. Mais il se peut qu'un poète ou un illettré se soient écartés, l'un volontairement, l'autre involontairement, de l'usage généralement considéré comme le bon usage.

[Koutan]

Cher Leclerc92 une fois que le cas est clos, je vous invite Claude, Koutan et André à faire des blagues mais saines eh ?

Je crois ressentir cette phrase différemment de la façon dont la ressent André. Il ne me semble pas, à moi, qu'elle implique forcément la suggestion que Claude, André ou moi ayons fait à quelque moment une blague malsaine, mais plutôt qu'elle pourrait exprimer une association plus ou moins fondée dans l'esprit de Diberiss entre blague et...et quoi donc ?...Grivoiserie ? Ça n'est pas malsain… L'insanité n'est pas le genre de la maison.