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Voilà une anecdote bien à propos ! Cher Marc Dupont, je crois que vous ne vous y attendiez pas.
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Les amateurs de la langue française que nous sommes défendent souvent l'idée que le langage influe sur la pensée et que, pour reprendre une belle formule devenue un truisme, « mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde ».Marc DUPONT a écrit : ↑lun. 21 sept. 2020, 14:00 Cette trouvaille (pour ne pas dire foutaise… ) est encore le fait d'intellectuels ( ?... ) spécialistes du discours creux et du "brassage de vent", suivis par quelques "bobos" snobs. Notre langue française traditionnelle serait, selon eux, un facteur d'oppression, de sexisme, et j'en passe. D'aucuns y amalgament même la domination colonialiste ; là, j'avoue ne pas avoir trop compris pourquoi… Il faut que ces gens s'ennuient sérieusement, soient névrosés...
Adaptation d'origine lunaire n'est-il pas ?
Personnellement, j'aurais écrit : "200 personnes , dont 95% de femmes , se sont jetées sur ce questionnaire"jarnicoton a écrit : ↑mer. 14 oct. 2020, 20:32 J'ai découvert sur le site de France-Inter cette variété particulière d'écriture inclusive, dont je vous laisse observer la subtilité peut-être inédite :
"200 personnes dont 95% de femmes se sont jeté-e-s sur ce questionnaire"
Je veux bien le croire.jarnicoton a écrit : ↑jeu. 15 oct. 2020, 12:50 Leclerc92 interprète comme j'ai fait.
Lorsque bidasse j'étais une sentinelle, cela ne me troublait pas plus que cela !
Idem pour moi, pas plus que si j'avais également été estafette ou ordonnance.jarnicoton a écrit : ↑jeu. 15 oct. 2020, 12:50 [...]
Lorsque bidasse j'étais une sentinelle, cela ne me troublait pas plus que cela !