Les expressions détournées par ignorance

[Uranie]

Emotion ou émulation, conviennent bien. Intérêt aussi.

[Hippocampe]

C'est peut-être un coup du correcteur automatique d'un smartphone, je me suis déjà fait avoir (j'avais mal des pieds à la poitevine).

[Perkele]

C'est qu'il n'a jamais été joué devant des cuisiniers.

[Perkele]

J'en ai mare d'être toujours le bouquet mystère !

[dudule]

Bah, c'est sympa, le bouquet mystère ! Ca fait un peu pochette-surprise.
M'en mettrez une caisse !

[Perkele]

Il a eu un coma italique

[Leclerc92]

Je préfère avoir un coma idyllique. Ça doit être proche de l'épectase, chère à Mgr Danielou.

[Uranie]

L’épectase est, chez les chrétiens, un progrès de l’homme vers Dieu.

Depuis les années 1970, ce mot désigne aussi, dans un sens familier, le décès pendant l'orgasme.

[dudule]

Un coma italique pourrait aussi s'interpréter comme une règle de typographie selon laquelle on met les virgules en italiques...

[Perkele]

Une housse mortelle (qui cause la mort) pour mortuaire (qui concerne la mort)

[Perkele]

Il a pognon sur rue.

[Leclerc92]

Joli !

[Yeva Agetuya]

D'un autre côté, ce sont les riches qui avaient pignon sur rue.

[Perkele]

Je pense que la confusion vient de là.

[Uranie]

Je viens de lire "un gâteau décadent". Et à côté les adjectifs "délicieux", "iconique" et "institution". Le contraire, donc.

Sens basiques de décadent : en décadence, en ruine, périclitant. Ou encore : "celui qui appartient à une époque décadente et qui s'en inspire."

Ce gâteau fit créé en 1832. Rien de décadent en ce temps.

On peut supposer que le journaliste considère que le passé est par définition décadent.