Pourriez-vous répondre à ces nouvelles questions?
Les voici:
1. Dans la phrase « Que vous faut-il de plus ? », le premier mot est
a) Un adjectif interrogatif
b) Une conjonction coordonnante
c) Une conjonction subordonnante
d) Un pronom interrogatif
e) Un pronom relatif
2. Dans la phrase « Que vous faut-il de plus ? », le second mot est
a) Attribut antéposé
b) Attribut postposé
c) Objet inverse
d) Sujet antéposé
e) Sujet inverse
3. Dans la phrase « Pierre est certain d'avoir raison », le troisième mot est
a) Adjectif indéfini
b) Adjectif qualificatif
c) Attribut
d) Complément
e) Epithète
5. Pour qu'une phrase française puisse se mettre au passif, il faut
a) Qu'elle ait un complément d'objet direct
b) Qu'elle n'ait pas de complément d'objet direct
c) Qu'elle soit à un temps du passé
d) Que son auxiliaire de temps ne soit pas être
e) Que son verbe ne soit pas le verbe être
6. Dans « Je me suis cassé la jambe », "me" est un
a) Adjectif possessif
b) Complément d'objet direct
c) Pronom personnel
d) Pronom possessif
e) Pronom réfléchi
Merci de prendre ceci en considération
Encore et toujours des questions d'ordre grammatical!
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Jacques
- Messages : 14475
- Inscription : sam. 11 juin 2005, 8:07
- Localisation : Décédé le 29 mai 2015, il était l'âme du forum
Je ne veux pas jouer le rôle du « méchant », mais je me fais le porte-parole des membres du forum.
Nous répondons à des questions particulières et isolées sur les difficultés de la langue ; voyez, par exemple, celles de Jofra, qui sont un bon exemple de ce que nous pouvons traiter et représentent des sujets de réflexion instructifs. Mais nous ne pouvons pas envisager d’aider à faire des séries d’exercices proposés dans le cadre d’une école, d’une faculté, d’un cycle d’études, et encore moins de remplir des questionnaires didactiques.
Les questions posées dans le cadre d’une session estudiantine sont à traiter par l’étudiant : c’est pour lui un moyen d’apprendre, et elles ont pour objectif de l’inciter à faire des recherches. Nous n’avons ni les moyens, ni le temps, ni l’envie de faire les recherches à votre place. Car nous sommes des amateurs et ne possédons pas les réponses toutes prêtes.
Je suis désolé et j’espère ne pas vous avoir vexée, mais j’exprime, je crois, un sentiment général.
Nous répondons à des questions particulières et isolées sur les difficultés de la langue ; voyez, par exemple, celles de Jofra, qui sont un bon exemple de ce que nous pouvons traiter et représentent des sujets de réflexion instructifs. Mais nous ne pouvons pas envisager d’aider à faire des séries d’exercices proposés dans le cadre d’une école, d’une faculté, d’un cycle d’études, et encore moins de remplir des questionnaires didactiques.
Les questions posées dans le cadre d’une session estudiantine sont à traiter par l’étudiant : c’est pour lui un moyen d’apprendre, et elles ont pour objectif de l’inciter à faire des recherches. Nous n’avons ni les moyens, ni le temps, ni l’envie de faire les recherches à votre place. Car nous sommes des amateurs et ne possédons pas les réponses toutes prêtes.
Je suis désolé et j’espère ne pas vous avoir vexée, mais j’exprime, je crois, un sentiment général.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
