Bonjour tout le monde,
Qu'est-ce qu'on dit ?
En société, il y a beaucoup de problèmles.
À la société, il y a beaucoup de problèmles.
Dans la société, il y a beaucoup de problèmles.
Et quelle est la différence ? Moi, je préfère : Dans la société, il y a beaucoup de problèmles.
Mais, parfois, il m'arrive de penser de cette manière :
Si je mets "en société" à la fin de la phrase, ne serait-elle pas plus acceptable ?
En d'autres termes, le fait de mettre le CCL à la fin de la phrase, est-ce qu'il joue à la grammaticalité ou l'agrammaticalité de ces trois phrases citées au-dessus.
Et merci à vous tous
En/à la/dans la société
En/à la/dans la société
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Il n’y a qu’une possibilité, à mon sens, dans cette phrase, quelle que soit la position du complément circonstanciel :
(1) Dans la société, il y a beaucoup de problèmes.
(2) Il y a beaucoup de problèmes dans la société.
« À la société » voudrait dire qu’on s’adresse à une société ; « en société » n’est guère usité que dans l’expression « vivre en société ».
(1) Dans la société, il y a beaucoup de problèmes.
(2) Il y a beaucoup de problèmes dans la société.
« À la société » voudrait dire qu’on s’adresse à une société ; « en société » n’est guère usité que dans l’expression « vivre en société ».
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Jacques-André-Albert
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Dans le sens qu'entend Gihad, c'est évidemment « dans la société », c'est à dire au sein d'un grand groupe d'individus.
Mais « en société » existe aussi : c'est être en compagnie de ses semblables, de ses amis, de ses relations.
Enfin, il existe des clubs, familièrement nommés « sociétés », c'est le cas des clubs de boule en Anjou ; le terrain couvert et ses annexes prennent aussi le nom de société : on dit alors familièrement « je vais à la société, je suis à la société ».
Mais « en société » existe aussi : c'est être en compagnie de ses semblables, de ses amis, de ses relations.
Enfin, il existe des clubs, familièrement nommés « sociétés », c'est le cas des clubs de boule en Anjou ; le terrain couvert et ses annexes prennent aussi le nom de société : on dit alors familièrement « je vais à la société, je suis à la société ».