Crédence

[Jacques]

C'est bien fait, avec un historique précis et propre à bien mettre en valeur les différentes étapes de l'évolution du mot.
Cela ne fait que confirmer que ce mot appliqué à une plaque murale est une impropriété.

[Claude]

On sera indulgent sur l'emploi de « dédiées »

[Jacques]

Ah bigre ! Je ne l'avais pas vu. Je n'ai lu que des passages, suffisamment pour savoir de quoi il s'agit.

[André (G., R.)]

Sous votre lien, Claude, je lis à la rubrique Dansons devant le buffet un passage qui conteste la même chose que nous :

Mais alors, par quel miracle nos anciennes crédences qui égayaient nos cuisines campagnardes puis nos salles à manger, sont-elles devenues cette partie murale située au-dessus du plan de cuisson et de travail, soit son signification actuelle ? Car en l’absence d’étagères ou à tout le moins de tablettes, on n’imagine guère la vaisselle qui pourrait y loger à part quelques louches et écumoires. Un vrai mystère…

Et, sous le titre Le religieux, d'autres bizarreries linguisiques :

Pour la petite histoire, sachez que les moines appelaient crédence cette planchette de bois sur lequel ils se reposaient sans que cela fut visible alors que la station déboute était requise.

[André (G., R.)]

Et son signification actuelle !

[Claude]

Sous votre lien, Claude, je lis à la rubrique Dansons devant le buffet un passage qui conteste la même chose que nous :

Mais alors, par quel miracle nos anciennes crédences qui égayaient nos cuisines campagnardes puis nos salles à manger, sont-elles devenues cette partie murale située au-dessus du plan de cuisson et de travail, soit son signification actuelle ? Car en l’absence d’étagères ou à tout le moins de tablettes, on n’imagine guère la vaisselle qui pourrait y loger à part quelques louches et écumoires. Un vrai mystère… [...]

Ah oui, j'ai oublié ce paragraphe ; je l'avais pourtant lu.
Effectivement il y a d'autres fautes mais comme Jacques j'ai consulté le lien rapidement en repérant seulement les mots-clés. Seul « dédiées » m'a sauté aux yeux.

[Islwyn]

Et, sous le titre Le religieux, d'autres bizarreries linguistiques :

Pour la petite histoire, sachez que les moines appelaient crédence cette planchette de bois sur lequel ils se reposaient sans que cela fut visible alors que la station déboute était requise.

Faisant abstraction des grosses erreurs signalées en gras, on peut penser que la planchette en question comportait un dossier vertical. Ce n'est qu'une idée...

[Jacques]

Sous votre lien, Claude, je lis à la rubrique Dansons devant le buffet un passage qui conteste la même chose que nous :

Mais alors, par quel miracle nos anciennes crédences qui égayaient nos cuisines campagnardes puis nos salles à manger, sont-elles devenues cette partie murale située au-dessus du plan de cuisson et de travail, soit son signification actuelle ? Car en l’absence d’étagères ou à tout le moins de tablettes, on n’imagine guère la vaisselle qui pourrait y loger à part quelques louches et écumoires. Un vrai mystère…

Et, sous le titre Le religieux, d'autres bizarreries linguisiques :

Pour la petite histoire, sachez que les moines appelaient crédence cette planchette de bois sur lequel ils se reposaient sans que cela fut visible alors que la station déboute était requise.

Il y a là bien du mystère. Cela ne sent pas la traduction par ordinateur, avec ses trouvailles réjouissantes. Ce serait donc, en principe, du travail humain. Mais alors ? Le texte est rédigé dans un français correct, à part l'anglicisme dédié. Quelques maladresses qui font grincer des dents dans un texte par ailleurs parfaitement recevable, c'est un étrange contraste.

[Jacques-André-Albert]

Faisant abstraction des grosses erreurs signalées en gras, on peut penser que la planchette en question comportait un dossier vertical. Ce n'est qu'une idée...

La planchette en question s'appelait aussi « miséricorde », et elle était fixée au dessous du siège qui se relevait. Ce modèle est soutenu par une pièce très ouvragée.

[André (G., R.)]

Je ne touve rien sous votre lien, JAA. Je suis peut-être en cause, ou mon matériel !

on peut penser que la planchette en question comportait un dossier vertical. Ce n'est qu'une idée...

Je ne crois pas : il me semble comprendre que les moines devaient rester longtemps debout et qu'ils s'appuyaient parfois discrètement à ladite crédence, du coude par exemple, pour se reposer. Un dossier n'aurait eu d'utilité que s'ils avaient pu s'asseoir.

[Islwyn]

Nous pensons tous à ceci :
http://dictionnaire1905.u-cergy.fr/inde ... er=Valider
Mais je vois que Wikipédia, se voulant « dans le vent », comporte une définition qui paraît s'appliquer à l'objet sur lequel nous nous interrogeons :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dence
« De nos jours, ce terme désigne également, dans une cuisine, la partie du mur située entre le plan de travail et les meubles hauts. Généralement recouverte de faïences ou d'inox, elle permet de protéger la paroi des éclaboussures d'eau à l'arrière de l'évier et de graisse à l'arrière de la plaque de cuisson. » Le développement de ce terme reste pourtant obscur.
Le lien donné par JAA semble renvoyer à un dossier inaccessible.

[Claude]

Je ne touve rien sous votre lien, JAA. [...]

Moi non plus.

[Jacques]

Idem pour moi.

[Jacques-André-Albert]

Et avec celui-là, en le copiant et le collant dans le champ d'adresses de votre navigateur ?
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/c ... ulptée.JPG

Sinon, la photo est accessible par la page sur Saint-Herbot.

[Claude]

S'agit-il de celle-ci ?