C'est ça, je suis confondu... Si ça vous chante, continuer à dire boulevarafleuri et le boulevarèbeau !Leclerc92 a écrit :Vous semblez confondre liaison et enchaînement.Monsieur Pogo a écrit :Il n'y a généralement pas de liaison entre les syllabes accentuées dans le français standard. C'est faire un cuir, que de lier phonétiquement la consonne finale de «boulevard» avec la voyelle accentuée [a] du v. avoir, i.e. - boulev[ara]passé-.
.
http://www.latl.unige.ch/safran/data/ph ... /index.htm
http://research.jyu.fi/phonfr/89.html
Dans "boulevard", la dernière consonne prononcée (en France du moins) est "r", puisque le "d" est muet en toutes circonstances, et le "r" s'enchaîne tout à fait normalement avec la voyelle qui commence le mot suivant.
négation avec "rarement"
- Monsieur Pogo
- Messages : 214
- Inscription : ven. 08 août 2014, 14:32
- Localisation : Trois-Rivières (Québec)
La liberté de se soumettre est une perversion
- Monsieur Pogo
- Messages : 214
- Inscription : ven. 08 août 2014, 14:32
- Localisation : Trois-Rivières (Québec)
Bougre d'âne, ce ne-là n'est qu'une tournure littéraire qui est grammaticalement facultative.André (G., R.) a écrit :Monsieur Pogo, c’est vous qui avez écrit Ce « ne » est euphonique en évitant l'hiatus*, à propos de Rarement l'esprit le plus traditionnel et le plus facile du Boulevard n'a passé ainsi à l'écran avec cette élégance (Mauriac). Soit on a un hiatus en l’absence de « n’ » pour « Boulevard n’a » (donc « Boulevard a ») et on le dit, soit l’hiatus n’est pas là… et on le dit… Mais dans l’hypothèse de sa présence, si l’on est logique avec soi-même, on explique que le r ne serait pas prononcé. N’auriez-vous pas confondu, ainsi que je l’expliquais plus haut, hiatus et assonance ?
La comparaison de « rarement » avec « jamais » à propose du fautif (ne m'en veuillez pas, Jacques-André-Albert) « ne… rarement » signifie que l’on a « ne… jamais » à l’esprit : libre à vous de refuser de voir cela, libre à vous de refuser de considérer que c’est « ne » qui rend négatif « ne… jamais » en pareil cas. Je reprends la phrase de l’encyclopédie à laquelle vous vous référez : Contrairement à jamais qui a un sens négatif, rarement a un sens positif. Il s'emploie donc sans le ne de négation : rarement la visite d'un souverain étranger avait soulevé de telles polémiques (et non n'avait soulevé). Ce passage, où « ne » est visiblement oublié devant « jamais », a au moins (hiatus !) l’avantage, en insistant sur la négation, de montrer que l’on y compare bien « ne… rarement » et « ne… jamais ».
Au lecteur de se faire une opinion.
Il se pourrait bien que des tournures correctes du genre « Je ne vais que rarement au cinéma » jouent un rôle dans l’impression d’une certaine familiarité que l’on peut avoir à propos de « ne… rarement ».
* Mots mis en gras par moi.
La liberté de se soumettre est une perversion
- Monsieur Pogo
- Messages : 214
- Inscription : ven. 08 août 2014, 14:32
- Localisation : Trois-Rivières (Québec)
Eh bien! cette entrée-là est un calque du «entry» des Têtes-carrées, i.e. de dictionary entryIslwyn a écrit :Lors de mes années de lexicographie, notre équipe qualifiait toujours d'« entrées » les différents mots qui figuraient en tête des articles de la nomenclature retenue. Et ce quarante ans avant le Larousse de 2016 !
La liberté de se soumettre est une perversion
- Monsieur Pogo
- Messages : 214
- Inscription : ven. 08 août 2014, 14:32
- Localisation : Trois-Rivières (Québec)
Prout
[mod]Pas d'attaques personnelles s'il vous plaît. Merci de consulter notre "charte de bonne conduite" qui se trouve dans la rubrique "utilisation du forum". Quant aux messages sous ce format, ils proviennent de la modération. [/mod]
.
Je vous retourne le compliment. Je vous souligne que ce sont les membres de votre forum qui m'ont gratuitement agressé, alors que je formulais tout bonnement mon commentaire.
Alors, jusque derrière la luette, votre forum de pignoufs vous pouvez vous l'enfoncer de par le fondement.
.
Je vous retourne le compliment. Je vous souligne que ce sont les membres de votre forum qui m'ont gratuitement agressé, alors que je formulais tout bonnement mon commentaire.
Alors, jusque derrière la luette, votre forum de pignoufs vous pouvez vous l'enfoncer de par le fondement.
La liberté de se soumettre est une perversion
- Claude
- Messages : 9173
- Inscription : sam. 24 sept. 2005, 8:38
- Localisation : Décédé le 24 août 2022. Humour et diplomatie. Il était notre archiviste en chef.
Quel beau cadeau de Noël vous nous faites !
Je laisse aux télépapoteurs le temps de consulter votre déclaration avant de prendre les mesures qui s'imposent.
Je viens de rectifier ma phrase exclamative ; en effet j'avais écrit « Quel beau cadeau de Noël vous nous offrez ! »
Le pléonasme a encore frappé.
(commentaire écrit le 29)
Je laisse aux télépapoteurs le temps de consulter votre déclaration avant de prendre les mesures qui s'imposent.
Je viens de rectifier ma phrase exclamative ; en effet j'avais écrit « Quel beau cadeau de Noël vous nous offrez ! »
Le pléonasme a encore frappé.
![[embarrassé] :oops:](./images/smilies/icon_redface.gif)
Dernière modification par Claude le ven. 29 déc. 2017, 19:52, modifié 2 fois.
Avatar : petit Gaulois agité (dixit Perkele)
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
![[rigole] :lol:](./images/smilies/icon_lol.gif)
Il me semble que « au cas où » est essentiellement contenu dans « si » et que, dans « si jamais », « jamais » signifie très normalement « à un moment quelconque », « un jour ou l'autre »...Jacques-André-Albert a écrit :On a également le sens de au cas où dans l'expression si jamais.
- Perkele
- Messages : 12918
- Inscription : sam. 11 juin 2005, 18:26
- Localisation : Deuxième à droite après le feu
Péché véniel, mon frère...Claude a écrit :Voyez mon précédent message rectifié ; je suis sûr que l'aviez tous remarqué mais n'avez pas osé me le dire.
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22