Résumer un paragraphe, mes premiers exercices
Bonsoir,
deuxième exercice de résumé. C'est un paragraphe ici de cet article de presse :
Pourquoi alors vouloir remastériser une console dont l'original a déjà séduit et continue de séduire les joueurs ? La Playstation Classic n'existe que pour titiller la collectionnite aiguë dont soufrent les gamers et les geek en général. Contrairement aux actuelles PS4 et Xbox One qui (la Switch de Nintendo mise à part) ressemblent à des lecteurs DVD sans grande personnalité, les consoles rétro possèdent des traits particuliers qui en font de parfaits objets de collection.
(75 mots)
Je note la construction du paragraphe :
question ;
réponse ;
argument.
Je voudrais résumer chacune des parties constituant ce paragraphe mais je bloque sur les points suivants :
Par quel autre verbe remplacer "remastériser" ? Refaire ? Reproduire ?
Je ne vois pas comment exprimer l'idée de "titiler la collectionnite aiguë" autrement !
La construction de l'argument s'articule avec "contrairement à". Puis l'exprimer d'une autre manière ?
Encore merci pour votre aide.
deuxième exercice de résumé. C'est un paragraphe ici de cet article de presse :
Pourquoi alors vouloir remastériser une console dont l'original a déjà séduit et continue de séduire les joueurs ? La Playstation Classic n'existe que pour titiller la collectionnite aiguë dont soufrent les gamers et les geek en général. Contrairement aux actuelles PS4 et Xbox One qui (la Switch de Nintendo mise à part) ressemblent à des lecteurs DVD sans grande personnalité, les consoles rétro possèdent des traits particuliers qui en font de parfaits objets de collection.
(75 mots)
Je note la construction du paragraphe :
question ;
réponse ;
argument.
Je voudrais résumer chacune des parties constituant ce paragraphe mais je bloque sur les points suivants :
Par quel autre verbe remplacer "remastériser" ? Refaire ? Reproduire ?
Je ne vois pas comment exprimer l'idée de "titiler la collectionnite aiguë" autrement !
La construction de l'argument s'articule avec "contrairement à". Puis l'exprimer d'une autre manière ?
Encore merci pour votre aide.
- Perkele
- Messages : 12918
- Inscription : sam. 11 juin 2005, 18:26
- Localisation : Deuxième à droite après le feu
Je croyais que remastériser ne s'employait qu'en ingénierie du son.
Vous avez en ligne, deux outils à votre disposition :
- France termes http://www.culture.fr/franceterme
- Le grand dictionnaire terminologique (GTD) québécois http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.as ... he=8361639
Les deux nous donnent "rematricer", mais il ne s'agit pas de console de jeu.
___
Appâter les collectionneurs ?
___
Alors que ?
Vous avez en ligne, deux outils à votre disposition :
- France termes http://www.culture.fr/franceterme
- Le grand dictionnaire terminologique (GTD) québécois http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.as ... he=8361639
Les deux nous donnent "rematricer", mais il ne s'agit pas de console de jeu.
___
Appâter les collectionneurs ?
___
Alors que ?
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
Vous devriez protester, Olllll, contre la mauvaise qualité des textes qu'on vous demande de résumer : comment voulez-vous progresser dans de pareilles conditions ? Dans le passage que vous nous soumettez, je relève deux fautes (« soufrent » et « geek » au lieu de « souffrent » et « geeks ») et un peu plus loin dans le même texte, je lis :
Le HuffPost a donc demandé à Olivier Lehmann, assistant directeur de publication chez "Omake Books", une maison d'édition spécialisée dans l'univers geek s'il ne valait pas plutôt dépoussiérer sa vielle PS1 plutôt que de craquer pour la Playstation Classic.
Mot probablement oublié (« mieux », après « ne valait pas »), répétition lourde (« plutôt », qui constitue d'ailleurs un double pléonasme à la suite de « ne valait pas mieux »), lourdeur de « de » avant « craquer », « vielle » au lieu de « vieille » et omission d'une virgule entre « geek » et « s'il » !
Le HuffPost a donc demandé à Olivier Lehmann, assistant du directeur de publication chez "Omake Books", une maison d'édition spécialisée dans l'univers geek, s'il ne valait pas mieux dépoussiérer sa vieille PS1 que craquer pour la Playstation Classic.
Le HuffPost a donc demandé à Olivier Lehmann, assistant directeur de publication chez "Omake Books", une maison d'édition spécialisée dans l'univers geek s'il ne valait pas plutôt dépoussiérer sa vielle PS1 plutôt que de craquer pour la Playstation Classic.
Mot probablement oublié (« mieux », après « ne valait pas »), répétition lourde (« plutôt », qui constitue d'ailleurs un double pléonasme à la suite de « ne valait pas mieux »), lourdeur de « de » avant « craquer », « vielle » au lieu de « vieille » et omission d'une virgule entre « geek » et « s'il » !
Le HuffPost a donc demandé à Olivier Lehmann, assistant du directeur de publication chez "Omake Books", une maison d'édition spécialisée dans l'univers geek, s'il ne valait pas mieux dépoussiérer sa vieille PS1 que craquer pour la Playstation Classic.
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
La question se pose ! Voulez-vous dire, Olllll, « faciles à résumer » ?
La critique, que j'ai faite ci-dessus, des passages sur lesquels vous travaillez ne signifie pas que j'aurais la moindre compétence en matière de résumé de texte.
Je trouve sur la Toile un extrait, tout à fait compréhensible et en français correct, je crois, de La Malbouffe, de Stella et Joël de Rosnay, proposé pour un tel exercice : dans le corrigé, il passe d'une trentaine à une douzaine de lignes. Si vous n'avez pas encore travaillé dessus, si vous ne le connaissez pas, je peux vous le fournir. Mais je ne puis savoir si vous le considérerez comme facile à résumer.
La critique, que j'ai faite ci-dessus, des passages sur lesquels vous travaillez ne signifie pas que j'aurais la moindre compétence en matière de résumé de texte.
Je trouve sur la Toile un extrait, tout à fait compréhensible et en français correct, je crois, de La Malbouffe, de Stella et Joël de Rosnay, proposé pour un tel exercice : dans le corrigé, il passe d'une trentaine à une douzaine de lignes. Si vous n'avez pas encore travaillé dessus, si vous ne le connaissez pas, je peux vous le fournir. Mais je ne puis savoir si vous le considérerez comme facile à résumer.
Est-ce bien de ce texte qu'il s'agit ?
https://www.espacefrancais.com/exemple- ... dun-texte/
https://www.espacefrancais.com/exemple- ... dun-texte/
Voici ce que je propose :
Résumé final :
Les experts mondiaux s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire, tuant probablement plus que les microbes et les épidémies. Malgré ce constat et adossé à notre réputation en matière de gastronomie, nous ne nous alarmons pas. Et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît aujourd’hui comme contre-intuitive. Comment donc réagir alors que les habitudes alimentaires solidement ancrées nous poussent à manger plus ? Peut-on proposer des changements en s’immisçant dans les assiettes des gens ? La diversité parmi ceux-ci, et donc des régimes alimentaires, rend complexe l’établissement de règles de vie adaptées, voire impossible.
Qu'en pensez-vous ?
Les experts mondiaux s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire.Les experts du monde entier — médecins, biologistes, nutritionnistes, diététiciens — sont formels : il existe des relations irréfutables entre la plupart des grandes maladies du monde industriel et la surconsommation ou le déséquilibre alimentaire. Maladies cardiaques, attaques, hypertension, obésité, diabète, dégradation de la qualité de la vie du 3e âge, tel est le lourd tribut que nous devons payer pour trop aimer la viande, les graisses ou le sucre. Jour après jour, année après année, nous préparons le terrain aux maladies qui nous emporteront prématurément.
Celles-ci tuent probablement plus que les microbes et les épidémies.Le tiers monde meurt de sous-alimentation... et nous de trop manger. Pléthore ou carence : les maladies de la malnutrition ou de la sous-alimentation tuent probablement dans le monde d'aujourd'hui plus que les microbes et les épidémies.
Malgré ce constat et adossé à notre réputation en matière de gastronomie, nous ne alarmons pas.Et pourtant sauf dans le tiers monde, on s'est peu intéressé jusqu'ici à la nutrition. Surtout en France. C'est bien connu : nous avons tous, ici, la faiblesse de croire que ce qui touche aux plaisirs de la table est comme notre seconde nature. On n'a rien à nous apprendre en ce domaine.
Et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît aujourd’hui comme contre-intuitive.D'ailleurs, quoi de plus triste qu'un « régime », « une diète », le « jeûne » ou l' « abstinence ». Il faut bien, à la rigueur, y recourir pour traiter des 2 maladies, mais pas pour préserver sa santé, ou plus simplement pour vivre mieux et plus longtemps. Les biologistes vont plus loin : ce que nous mangeons influencerait notre manière de penser et d'agir. Comme le disent si bien les Anglais : « You are what you eat », vous êtes ce que vous mangez. Et les Français d'ajouter : « On creuse sa tombe avec ses dents. » Il ne s'agit donc plus aujourd'hui de perdre quelques kilos superflus mais tout bonnement de survivre. D'inventer une diététique de survie.Nous avons la mort aux dents.
Comment donc réagir alors que les habitudes alimentaires solidement ancrées nous poussent à manger plus ?Il est grand temps de réagir. Mais comment ? Pendant des millénaires les hommes ont cherché à manger plus. Faut-il aujourd'hui leur demander de manger moins ? Peut-on aller contre des habitudes aussi enracinées ?
Peut-on s’immiscer ainsi dans les assiettes des gens ?Beaucoup estiment que toute ingérence dans leur mode d'alimentation est une véritable atteinte à leur vie privée. Manger est devenu si banal et si évident qu'on n'y prête plus guère attention.
Leur diversité va de pair avec la diversité des régimes alimentaires. Proposer des règles de vie adaptée à chaque cas apparaît alors comme difficile voire impossible.La plus grande diversité règne en matière d'alimentation. Il en va de même des hommes. Les besoins sont très différents selon les individus. Inégaux dans notre façon d'assimiler une nourriture riche, nous le sommes aussi devant les aliments : certains adaptent à leurs besoins ce qu'ils mangent et boivent. D'autres ne peuvent résister à la tentation. Certains grossissent facilement, d'autres ne prennent jamais de poids. D'autres encore ne parviennent pas à grossir, même s'ils le souhaitent. Les facteurs héréditaires viennent ajouter à la complexité des phénomènes et des tendances. L'environnement ou le terrain moduleront à leur tour ces influences. C'est pourquoi, il apparaît bien difficile sinon impossible de communiquer des règles de vie ou d'équilibre adaptées à chaque cas.
Résumé final :
Les experts mondiaux s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire, tuant probablement plus que les microbes et les épidémies. Malgré ce constat et adossé à notre réputation en matière de gastronomie, nous ne nous alarmons pas. Et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît aujourd’hui comme contre-intuitive. Comment donc réagir alors que les habitudes alimentaires solidement ancrées nous poussent à manger plus ? Peut-on proposer des changements en s’immisçant dans les assiettes des gens ? La diversité parmi ceux-ci, et donc des régimes alimentaires, rend complexe l’établissement de règles de vie adaptées, voire impossible.
Qu'en pensez-vous ?
- Perkele
- Messages : 12918
- Inscription : sam. 11 juin 2005, 18:26
- Localisation : Deuxième à droite après le feu
Je n'avais pas vu passer ce message.
1/ On perd la notion d'experts dans le domaine médical.
2/ On perd la notion de malnutrition.
3/ Que pensez-vous de "forts de" au lieu de "adossés à" ?
4/ Je comprends plutôt "et nous mettons notre vie en danger"
5/ "Comment lutter contre un comportement inné" ?
6/ "Avec autant d'individus que de métabolismes et de comportements alimentaire il est quasiment impossible de donner des conseils"
1/ On perd la notion d'experts dans le domaine médical.
2/ On perd la notion de malnutrition.
3/ Que pensez-vous de "forts de" au lieu de "adossés à" ?
4/ Je comprends plutôt "et nous mettons notre vie en danger"
5/ "Comment lutter contre un comportement inné" ?
6/ "Avec autant d'individus que de métabolismes et de comportements alimentaire il est quasiment impossible de donner des conseils"
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
-
- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
Excusez-moi, vos messages récents m'ont échappé.Olllll a écrit :Les experts mondiaux s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire, tuant probablement plus que les microbes et les épidémies. Malgré ce constat et adossé à notre réputation en matière de gastronomie, nous ne nous alarmons pas. Et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît aujourd’hui comme contre-intuitive. Comment donc réagir alors que les habitudes alimentaires solidement ancrées nous poussent à manger plus ? Peut-on proposer des changements en s’immisçant dans les assiettes des gens ? La diversité parmi ceux-ci, et donc des régimes alimentaires, rend complexe l’établissement de règles de vie adaptées, voire impossible.
Vous avez fait là un sacré travail !
Je partage largement vos remarques, Perkele.
Je n'aime guère « contre-intuitive », ni « La diversité parmi ceux-ci, et donc des régimes alimentaires, rend complexe l’établissement de règles de vie adaptées, voire impossible ». Pour cette dernière phrase, je préférerais quelque chose comme « Leur diversité, et donc celle des régimes alimentaires, rendent difficile, voire impossible, l’établissement de règles de vie saines ».
En tenant compte de vos remarques :
Résumé final :
Les experts médicaux du monde entier s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire. La malnutrition tue probablement plus que les microbes et les épidémies. Malgré ce constat et fort de notre réputation en matière de gastronomie, nous ne alarmons pas. La sur-alimentation met pourtant notre vie en danger et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît dans nos sociétés comme absurde. Comment lutter contre un comportement inné qui nous pousse à manger plus ? Peut-on s’immiscer ainsi dans les assiettes des gens ? Avec autant d'individus que de métabolismes et de comportements alimentaires, il est difficile voire impossible d'établir des règles de vie saine.
Qu'en pensez-vous ?
Les experts médicaux du monde entier s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire.Les experts du monde entier — médecins, biologistes, nutritionnistes, diététiciens — sont formels : il existe des relations irréfutables entre la plupart des grandes maladies du monde industriel et la surconsommation ou le déséquilibre alimentaire. Maladies cardiaques, attaques, hypertension, obésité, diabète, dégradation de la qualité de la vie du 3e âge, tel est le lourd tribut que nous devons payer pour trop aimer la viande, les graisses ou le sucre. Jour après jour, année après année, nous préparons le terrain aux maladies qui nous emporteront prématurément.
La malnutrition tue probablement plus que les microbes et les épidémies.Le tiers monde meurt de sous-alimentation... et nous de trop manger. Pléthore ou carence : les maladies de la malnutrition ou de la sous-alimentation tuent probablement dans le monde d'aujourd'hui plus que les microbes et les épidémies.
Malgré ce constat et fort de notre réputation en matière de gastronomie, nous ne alarmons pas.Et pourtant sauf dans le tiers monde, on s'est peu intéressé jusqu'ici à la nutrition. Surtout en France. C'est bien connu : nous avons tous, ici, la faiblesse de croire que ce qui touche aux plaisirs de la table est comme notre seconde nature. On n'a rien à nous apprendre en ce domaine.
La sur-alimentation met pourtant notre vie en danger et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît dans nos sociétés comme absurde.D'ailleurs, quoi de plus triste qu'un « régime », « une diète », le « jeûne » ou l' « abstinence ». Il faut bien, à la rigueur, y recourir pour traiter des 2 maladies, mais pas pour préserver sa santé, ou plus simplement pour vivre mieux et plus longtemps. Les biologistes vont plus loin : ce que nous mangeons influencerait notre manière de penser et d'agir. Comme le disent si bien les Anglais : « You are what you eat », vous êtes ce que vous mangez. Et les Français d'ajouter : « On creuse sa tombe avec ses dents. » Il ne s'agit donc plus aujourd'hui de perdre quelques kilos superflus mais tout bonnement de survivre. D'inventer une diététique de survie.Nous avons la mort aux dents.
Comment lutter contre un comportement inné qui nous pousse à manger plus ?Il est grand temps de réagir. Mais comment ? Pendant des millénaires les hommes ont cherché à manger plus. Faut-il aujourd'hui leur demander de manger moins ? Peut-on aller contre des habitudes aussi enracinées ?
Peut-on s’immiscer ainsi dans les assiettes des gens ?Beaucoup estiment que toute ingérence dans leur mode d'alimentation est une véritable atteinte à leur vie privée. Manger est devenu si banal et si évident qu'on n'y prête plus guère attention.
Avec autant d'individus que de métabolismes et de comportements alimentaires, il est difficile voire impossible d'établir des règles de vie saine.La plus grande diversité règne en matière d'alimentation. Il en va de même des hommes. Les besoins sont très différents selon les individus. Inégaux dans notre façon d'assimiler une nourriture riche, nous le sommes aussi devant les aliments : certains adaptent à leurs besoins ce qu'ils mangent et boivent. D'autres ne peuvent résister à la tentation. Certains grossissent facilement, d'autres ne prennent jamais de poids. D'autres encore ne parviennent pas à grossir, même s'ils le souhaitent. Les facteurs héréditaires viennent ajouter à la complexité des phénomènes et des tendances. L'environnement ou le terrain moduleront à leur tour ces influences. C'est pourquoi, il apparaît bien difficile sinon impossible de communiquer des règles de vie ou d'équilibre adaptées à chaque cas.
Résumé final :
Les experts médicaux du monde entier s’accordent à dire que les grandes maladies du monde industriel sont liées à la surconsommation ou au déséquilibre alimentaire. La malnutrition tue probablement plus que les microbes et les épidémies. Malgré ce constat et fort de notre réputation en matière de gastronomie, nous ne alarmons pas. La sur-alimentation met pourtant notre vie en danger et l’idée de manger moins pour vivre plus longtemps apparaît dans nos sociétés comme absurde. Comment lutter contre un comportement inné qui nous pousse à manger plus ? Peut-on s’immiscer ainsi dans les assiettes des gens ? Avec autant d'individus que de métabolismes et de comportements alimentaires, il est difficile voire impossible d'établir des règles de vie saine.
Qu'en pensez-vous ?
Juste deux petites observations d'orthographe :
Malgré ce constat et forts de notre réputation en matière de gastronomie, nous ne nous alarmons pas.
De plus, il me semblerait plus logique d'écrire Avec autant de métabolismes et de comportements alimentaires que d'individus, plutôt que l'inverse, mais attendez d'autres avis.
Malgré ce constat et forts de notre réputation en matière de gastronomie, nous ne nous alarmons pas.
De plus, il me semblerait plus logique d'écrire Avec autant de métabolismes et de comportements alimentaires que d'individus, plutôt que l'inverse, mais attendez d'autres avis.