André (G., R.) a écrit :1 - J'ai acquiescé (« Bien vu ! ») quand vous avez relevé, Claude, l'accent fautif dans « à lieu ». 2 - Vous avez écrit ensuite que vous aviez vu « à tort » « un tout petit accent grave », ce qui me paraît en contradiction avec ce que vous aviez annoncé initialement. 3 - Où voulez-vous alors en venir, Leclerc92 ?
Tout simplement sur la mauvaise interprétation que vous donnez à la phrase de Claude : Je vois un tout petit accent grave à tort en 5
Vous rattachez "à tort" à "je vois", alors que dans la pensée de Claude (qu'il me corrige si je me trompe), "à tort" se rattache à "en 5" (c'est l'accent mis à tort en 5 que Claude voit). Il est certain que la phrase est ambiguë, si c'est ce que vous vouliez souligner, mais le contexte nous éclairait ; qui de nous peut se vanter d'être toujours parfaitement clair ?
Dernière modification par Leclerc92 le ven. 24 nov. 2017, 12:32, modifié 1 fois.
Islwyn a écrit :Quant à moi, je n'ai jamais compris pourquoi ce vendredi serait nommé « noir », adjectif ayant des connotations métaphoriques assez lugubres. Serait-ce parce que les ventes produisent un bilan positif dans les comptes bancaires des vendeurs ?
Il paraît que ce nom a d'abord été donné par la police de Philadelphie, dans les années 60, à ce fameux vendredi de folie où la foule des acheteurs cause des embouteillages monstres et de nombreux accidents de la circulation. C'est bien un vendredi noir pour les routes.
Claude a écrit :Ah oui ! J'aurais dû écrire « Je vois un tout petit accent grave mis à tort en 5 ».
Mea culpa, voire maxima culpa !
Il n'y a pas mort d'homme non plus !
Et vous me rappelez ce que répliquait Jacques en pareil cas, mais que je ne reprends pas à mon compte, car ce serait prétentieux de ma part !
Bien sûr. Comme le signale Bruno DEWAELE, un pas supplémentaire est malheureusement franchi en matière de... prostitution, puisque s'y livre une instance dont on pouvait espérer qu'elle serait la dernière à le faire.
Ayant à l'esprit Halloween et le Vendredi noir, j'ai entendu parler récemment aussi de Thanksgiving : je me suis alors demandé, sans y croire, si cette fête, qui ne concerne vraiment pas les Européens, nous serait imposée pareillement. Eh bien, je ne me trompais pas totalement : j'apprends que les soldes de ce vendredi-là permettent aux consommateurs de faire les achats nécessaires au lendemain du repas du jour férié de Thanksgiving et que l'un et l'autre sont bel et bien liés. Combien de Français mangeront-ils une dinde le jeudi 29 novembre 2018 ? Quand notre président accordera-t-il sa grâce à l'une de ses congénères ?
Bien sûr. Comme le signale Bruno DEWAELE, un pas supplémentaire est malheureusement franchi en matière de... prostitution, puisque s'y livre une instance dont on pouvait espérer qu'elle serait la dernière à le faire.
Ayant à l'esprit Halloween et le Vendredi noir, j'ai entendu parler récemment aussi de Thanksgiving : je me suis alors demandé, sans y croire, si cette fête, qui ne concerne vraiment pas les Européens, nous serait imposée pareillement. Eh bien, je ne me trompais pas totalement : j'apprends que les soldes de ce vendredi-là permettent aux consommateurs de faire les achats nécessaires au lendemain du repas du jour férié de Thanksgiving et que l'un et l'autre sont bel et bien liés. Combien de Français mangeront-ils une dinde le jeudi 29 novembre 2018 ? Quand notre président accordera-t-il sa grâce à l'une de ses congénères ?
Ce que j'en avais retenu était que les commerces soldaient pour éviter le manque à gagner d'un vendredi de pont.
Dernière modification par Perkele le dim. 26 nov. 2017, 23:53, modifié 1 fois.
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
André (G., R.) a écrit :Combien de Français mangeront-ils une dinde le jeudi 29 novembre 2018 ? Quand notre président accordera-t-il sa grâce à l'une de ses congénères ?
Voulez-vous laisser entendre que vous prenez les Françaises pour des dindes ?
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
Bien sûr. Comme le signale Bruno DEWAELE, un pas supplémentaire est malheureusement franchi en matière de... prostitution, puisque s'y livre une instance dont on pouvait espérer qu'elle serait la dernière à le faire.
Ayant à l'esprit Halloween et le Vendredi noir, j'ai entendu parler récemment aussi de Thanksgiving : je me suis alors demandé, sans y croire, si cette fête, qui ne concerne vraiment pas les Européens, nous serait imposée pareillement. Eh bien, je ne me trompais pas totalement : j'apprends que les soldes de ce vendredi-là permettent aux consommateurs de faire les achats nécessaires au lendemain du repas du jour férié de Thanksgiving et que l'un et l'autre sont bel et bien liés. Combien de Français mangeront-ils une dinde le jeudi 29 novembre 2018 ? Quand notre président accordera-t-il sa grâce à l'une de ses congénères ?