être confortable

[Jacques]

Eh bien, je l'ignorais. Merci, Jacques.

Ce n'est pas un péché. Content d'avoir pu vous apprendre une petite chose.

[Perkele]

Ça me fait penser aux gens qui, narrant un épisode énervant de leur vie, disent : "Ah ! J'tais colère !".

Ce n'est pas fautif, car colère a existé en tant qu'adjectif dès 1505, avec le sens de « emporté par la colère ». Après 1920, il a disparu de l'usage. C'est donc aujourd'hui un archaïsme, mais aussi un régionalisme, car il est encore vivant dans certaines provinces françaises.

Mes tantes bretonnes l'employaient couramment

[Jacques]

Du temps de mon adolescence, je l'entendais aussi en Normandie.

[Claude]

Je ne l'ai jamais entendu car mes tantes n'étaient pas bretonnes.

[Jacques]

Je ne l'ai jamais entendu car mes tantes n'étaient pas bretonnes.

On a le droit d'avoir des tantes normandes qui le disent.

[Claude]

Pour sûr !

[JR]

On a aussi le droit d'avoir des tentes confortables.

[grumpythedwarf]

On a aussi le droit d'avoir des tentes confortables.

Les oncles, on les appelle les piquets de tentes ?

Bon, je sors.

[Jacques]

Les oncles, on les appelle les piquets de tentes ?

.

Je me permets de rappeler à votre aimable attention
1 – l'article 2 de notre charte :
Nous nous interdisons l’emploi de termes orduriers ou obscènes, les allusions à caractère salace
2 – le message personnel des trois administrateurs, envoyé avant-hier, où il était notamment question d'une obligation de respect envers les femmes.

[grumpythedwarf]

Mille pardons, Jacques.
Ce doit être ma propension à "déconner" dès que l'occasion se présente,
ou ce dérapage (malheureux) serait-il dû aux conditions climatiques ?

PS: Etes-vous un partisan d'une limitation quelconque en humour ?
Ou est-ce le lieu où on le pratique qui vous freine.

Mais rassurez-vous, je vais relire la charte.

[Jacques]

Je réponds au nom de nous trois : la limite humoristique se pose là où commencent la grivoiserie, les gauloiseries, les obscénités, choses qui se permettent en privé, et que tout le monde pratique, mais qu'il ne paraît pas décent d'exposer ici. Nous sommes très attachés à la tenue du forum.
Chacun doit pouvoir déterminer les barrières à ne pas franchir.
Et je suis certain que ces dames qui fréquentent le forum, si grande soit leur ouverture d'esprit, se sentent un peu souillées par les allusions les mettant en cause.

[grumpythedwarf]

Je réponds au nom de nous trois : la limite humoristique se pose là où commencent la grivoiserie, les gauloiseries, les obscénités, choses qui se permettent en privé, et que tout le monde pratique, mais qu'il ne paraît pas décent d'exposer ici. Nous sommes très attachés à la tenue du forum.
Chacun doit pouvoir déterminer les barrières à ne pas franchir.
Et je suis certain que ces dames qui fréquentent le forum, si grande soit leur ouverture d'esprit, se sentent un peu souillées par les allusions les mettant en cause.

Reçu 5/5.

[Jacques]

Il est agréable d'avoir affaire à quelqu'un qui comprend et accepte. Un bon point pour vous ; ce n'est pas moi qui les distribue, voyez avec Claude.

[Anne]

Et je suis certain que ces dames qui fréquentent le forum, si grande soit leur ouverture d'esprit, se sentent un peu souillées par les allusions les mettant en cause.

Il y a aussi des dames qui peuvent être suffisamment prudes pour ne pas avoir compris l'allusion salace de Grumpy, si ça peut vous rassurer, Jacques.

Enfin, j'ai peut-être compris, mais dans ce cas je trouve l'allusion trop tirée par les cheveux pour être drôle.

[Claude]

...Un bon point pour vous ; ce n'est pas moi qui les distribue, voyez avec Claude.

Passez me voir à mon bureau et je vous le remettrai sous enveloppe ; prenez-en soin car en cas de perte il ne sera pas délivré de duplicata.

PS : j'ai placé une trombinette souriante car j'imagine la réaction d'un nouveau cotélépapoteur qui pourrait bien se demander dans quel forum il est tombé.