Leclerc92 a écrit :[...]
Claude aurait aussi pu dire -- mais il ne l'a pas dit -- qu'il y a deux syllabes
écrites dans [aine] : [ai] et [ne].
Naturellement, il n'y a qu'une syllabe
orale, composée des deux phonèmes susmentionnés.
Vous affirmez que : « … deux syllabes
écrites »
= « une syllabe
orale… »
Votre analyse est pour le moins baroque…
Je vais vous répliquer en définissant les termes que vous avez employés, afin que nous puissions nous comprendre :
Syllabe : unité phonétique ;
Phonétique : relatif aux sons ;
La syllabe que vous distinguez à l'écrit est relative à une unité phonétique : à un son ;
Si vous distinguez deux syllabes à l'écrit , vous prononcerez ces deux syllabes en parlant : «deux syllabes
écrites» = deux «syllabes
orales»…
Le « [aine] » que vous citez est tiré de la syllabe
vaine du mot
écrivaine :
vaine est une seule syllabe et le terme
écrivaine comporte
TROIS syllabes :
é/cri/vaine
Claude a écrit :Vous avez raison, et [ai] et [n] ne sont pas
prononcés (
sic) simultanément (…)
Prononcés : articulés des sons;
« (…) une voyelle orale suivie d'une consonne nasale [ai] et [n] ne sont pas prononcés (
sic) simultanément » =
elles sont prononcées distinctement ;
Il est question de la syllabe finale d'
(écri)/vaine ;
Or, «v[ai][n]e» se prononce simultanément puisque c'est une syllabe, d'où ma réplique à Claude.
Leclerc92 a écrit :Monsieur Pogo a écrit :Un nombre impair est plutôt un nombre pair + 1.
Non, pas plutôt. Mais juste également, ni plus ni moins.
L'unité étant le premier nombre impair, un nombre pair est un nombre impair incrémenté d'une unité (i.e. nombre IMpair +1)
.