J'ai d'abord cru que c'était Charles Trenet. Mais attention, en France quand on parle du grand Charles, c'est au général qu'on pense, car c'est ainsi qu'il était baptisé du temps où il était président, avec un brin de dérision. L'allusion ne visait d'ailleurs pas tant sa haute taille que son côté un tantinet mégalomane.manni-gedeon a écrit :... et la chanson du grand Charles...
Improbabilités
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Jacques
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Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Pour ce que je sais et ce que j'ai lu de lui, Nelson Mandela est quelqu'un qui m'impressionne.
Je veux dire par là: si nous avions vraiment voulu nous investir à fond dans une carrière (politique, économique, artistique...) correspondant à l'un de nos talents, nous serions peut-être arrivés aussi au sommet. A tort ou à raison, je ne ressens pas de différence fondamentale de "substance" entre un Premier ministre, un journaliste vedette, un grand dirigeant d'entreprise... et moi: c'est un peu une partie de moi-même, mais hypertrophiée, poussée à l'extrême (j'espère que vous comprenez ce que je veux dire par là et que vous n'y voyez aucune vanité). Comme Jacques, je ne suis donc pas facilement impressionné par eux.
Avec quelqu'un comme Mandela, si: même en mobilisant toute ma volonté, je n'aurais pas pu faire le quart de la moitié de ce qu'il a fait (fin - pour ma part- de la digression dominicale
).
Je veux dire par là: si nous avions vraiment voulu nous investir à fond dans une carrière (politique, économique, artistique...) correspondant à l'un de nos talents, nous serions peut-être arrivés aussi au sommet. A tort ou à raison, je ne ressens pas de différence fondamentale de "substance" entre un Premier ministre, un journaliste vedette, un grand dirigeant d'entreprise... et moi: c'est un peu une partie de moi-même, mais hypertrophiée, poussée à l'extrême (j'espère que vous comprenez ce que je veux dire par là et que vous n'y voyez aucune vanité). Comme Jacques, je ne suis donc pas facilement impressionné par eux.
Avec quelqu'un comme Mandela, si: même en mobilisant toute ma volonté, je n'aurais pas pu faire le quart de la moitié de ce qu'il a fait (fin - pour ma part- de la digression dominicale
).Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet (Courteline)
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Jacques
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Nous sommes sur le même plan. En réalité, pour Mandela j'ai de l'admiration et un grand respect. Cet homme a beaucoup souffert et pour une cause juste. Il a eu un immense courage et finalement la discrimination raciale qu'il condamnait a été abolie. Même admiration pour mère Térésa ou Raoul Follereau ou Albert Schweitzer. Des personnages qui ont accompli des œuvres humanitaires immenses.
Mais je n'ai jamais été impressionné par qui que ce soit. Un ministre ou un président n'a pas plus de valeur à mes yeux qu'un éboueur (et j'ai sincèrement une grande estime pour les éboueurs).
Mais je n'ai jamais été impressionné par qui que ce soit. Un ministre ou un président n'a pas plus de valeur à mes yeux qu'un éboueur (et j'ai sincèrement une grande estime pour les éboueurs).
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Désolé de répondre si tard, mais je n'avais pas vu votre message.Jacques a écrit :Je suis toujours aussi surpris au sujet de cet adjectif qu'emploie Dragor, à propos du langage de l'informatique (je pense qu'il fait allusion au jargon de métier, et pas aux langages de programmation). J'aurais aimé savoir quelle est sa pensée.
Je faisais donc bien référence au jargon du métier, et souhaitais souligner son caractère parfois insolite, inattendu, voire source d'amusement pour le non initié.
Par exemple, en informatique un string n'a pas de caractère érotique mais a quand même des caractères.