GB-91
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par GB-91 » jeu. 10 janv. 2013, 12:20
Vous oubliez Le passe-temps des dames et des demoiselles , la voix de basse de Jean Toscane, Les nuits du bout du monde de Stéphane Pizella, Le grenier de Montmartre et que sais-je encore...
Ah ! nostalgie, quand tu nous prends !...
jarnicoton
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par jarnicoton » jeu. 10 janv. 2013, 13:57
Moi, j'aimais pleurer avec Clara Candiani.
Perkele
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par Perkele » jeu. 10 janv. 2013, 16:31
Et Bibi ? :D
Et "les beaux jeudis" de Maurice Poliak ?
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
Jacques
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par Jacques » jeu. 10 janv. 2013, 17:22
Pour pleurer, il y avait Reine d'un jour et les commentaires pathétiques de Jean Nohain.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Claude
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par Claude » jeu. 10 janv. 2013, 18:07
Ménie Grégoire qui tentait de régler les problèmes familiaux.
GB-91
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par GB-91 » ven. 11 janv. 2013, 4:10
Bravo, bravo! Monsieur Champagne , vous avez très bien retenu votre leçon (ça se chante en applaudissant).
Claude
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par Claude » ven. 11 janv. 2013, 7:26
Plus précisément :
Bravo, bravo ! Monsieur Champagne, vous nous avez bien renseignés,
Bravo, bravo ! Monsieur Champagne, vous êtes digne d'enseigner.
Jacques
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par Jacques » ven. 11 janv. 2013, 7:50
Et, selon les circonstances :
Zéro zéro monsieur Champagne,
Vous nous avez mal renseignés.
Zéro zéro monsieur Champagne,
Vous n'êtes plus digne d'enseigner.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Claude
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par Claude » ven. 11 janv. 2013, 8:24
Ézatemin ! Comme dirait Perkele.
Perkele
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par Perkele » ven. 11 janv. 2013, 12:45
Claude a écrit : Ménie Grégoire qui tentait de régler les problèmes familiaux.
La sœur de l'abbé Laurentin ?
Déjà !
Je croyais qu'elle n'avait sévi qu'à partir des années 1970.
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
Jacques
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par Jacques » ven. 11 janv. 2013, 12:53
Oui, son frère était dans les ordres.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Claude
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par Claude » ven. 11 janv. 2013, 13:43
Perkele a écrit : [...] Déjà !
Je croyais qu'elle n'avait sévi qu'à partir des années 1970.
De 1967 à 1982.
JR
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par JR » ven. 11 janv. 2013, 16:36
Vous avez oublié Pierre Bellemare, qui est toujours opérationnel
L’ignorance est mère de tous les maux.
François Rabelais
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par GB-91 » ven. 11 janv. 2013, 16:42
Il me revient à l'esprit (si l'on peut dire) le nom de Georges Briquet à qui je pense lorsque j'écoute (c'est rare) la relation d'une épreuve sportive : le débit, le ton, les mots "bouffés" par les suivants, les accords aléatoires, les prépositions choisies en vrac, les exclamations à la pelle et surtout les termes flatteurs pour la mise en vedette qui conduisent l'auditeur à s'identifier à celui qui sue sur la piste pour une médaille et pour que son nom apparaisse en grosses lettres à la une de L'Équipe . Briquet reste le père d'un style déclamatoire arraché, il aura tout fait pour rendre la langue orale incompréhensible.