Fautes très et trop courantes

[Leclerc92]

C'est une possibilité. Encore que, pour ma part, je préférerais écrire quand même : "la moitié des patients estiment que la migraine gâche leur vie", qui permet de ne pas faire côtoyer un singulier (même collectif !) et un pluriel.

[Bernard_M]

Je n'avais pas vu la chose ainsi.
Lu par ailleurs sur la Toile (sans vérification du crédit à accorder à cette source).
Mais après réflexion, l'esprit s'attachant plus à faire estimer la chose par les patients que par la moitié, le pluriel est sans doute plus judicieux. De plus, comme vous le dites, la juxtaposition de deux pluriels est plus élégante.
Dont acte !

[Leclerc92]

Malgré de nombreux témoins de la scène, aucun n’a réagit.
Faute assez courante, hélas.

[Perkele]

Ou alors il est schizophrène.

[Leclerc92]

Benoît Payan, premier adjoint à la mairie de Marseille a dénoncé dans une conférence de presse un « quasi-confinement sans que personne n’ait été concerté » dans la ville.
https://www.nouvelobs.com/coronavirus-d ... ville.html
Je suppose que "concerté" prend ici, inhabituellement, le sens de "consulté".

[Stéphane]

C'est déconcertant, tout de même.

J'apprends quant à moi que certains malades « arborent » leurs symptômes. Le verbe me paraît un peu fort et me semble lié à une idée d'ostentation... Certains malades sont peut-être fiers de leur toux et de leur fièvre !

« La Haute autorité de santé avait déjà approuvé, il y a une semaine, les tests salivaires pour les personnes arborant des symptômes. »
http://bfmtv.com/sante/covid-19-les-aut ... 50289.html

[Leclerc92]

"Présentant des symptômes" a dû paraître trop plat !

[Claude]

Pourtant je connais des personnes qui « arborent » leur maladie, non pas par fierté mais parce qu'ils aiment être plaints.

[Perkele]

Je vous avoue avoir capturé quelques exemplaire du virus à la mode, mais, modestement je ne les exhibe pas et je ne le ferai pas quand bien même on me supplierait.

[Claude]

Même sous la torture ?

[Perkele]

Les avoir montré à une laborantine a été bien suffisant. Il est vrai qu'un coton tige tourné cinq fois dans chaque narine peut être considéré comme une torture.

[Claude]

C'est vrai ; quand je les vois œuvrer à la télé avec ce coton-tige qui n'en finit pas d'entrer, je l'imagine sortir du crâne à l'arrière et ça me soulève le cœur. J'attends les tests salivaires ; je suis courageux mais pas téméraire.

[Perkele]

Disons que j'avais hâte de mettre un nom sur mes symptômes, la fatigue étant particulièrement handicapante.

[Claude]

Je peux l'imaginer même si je ne le ressens pas.

[jarnicoton]

Qui connaît la puissance d'un coton-tige ?