Leclerc92 a écrit :Il serait préférable d'avoir un "ou" plutôt qu'un "et", car si l'on empêche le cancer, on n'a plus à le guérir. "Empêcher et guérir" me semble contradictoire.
Ce qui semble bizarre à d'aucuns n'attire pas l'attention d'autres ! En lisant « des études récentes » et « dans certains cas » j'ai pensé à un grand nombre de personnes, je n'ai donc pas imaginé que les verbes empêcher et guérir pussent concerner un seul patient ou patient potentiel et entrer en contradiction.
Pour ce qui est de la preuve de la prévention, je suppose qu'elle se fonde sur des études statistiques.
J'imagine.
Pendant dix ans, mille personnes saines âgées de cinquante ans au début de l’étude consomment chacune dix kilos de citron par an et seules trois d'entre elles sont cancéreuses à soixante ans.
Un groupe de mille autres personnes saines du même âge s'en tient, pendant une durée et dans un environnement identiques, à un kilo de citron par an et par personne. Vingt d'entre elles ont un cancer à soixante ans.
Ne peut-on alors établir une relation de cause à effet entre la faible consommation de citron et l'apparition de la maladie ?
André (G., R.) a écrit :J'imagine.
Pendant dix ans, mille personnes saines âgées de cinquante ans au début de l’étude consomment chacune dix kilos de citron par an et seules trois d'entre elles sont cancéreuses à soixante ans.
Un groupe de mille autres personnes saines du même âge s'en tient, pendant une durée et dans un environnement identiques, à un kilo de citron par an et par personne. Vingt d'entre elles ont un cancer à soixante ans.
Ne peut-on alors établir une relation de cause à effet entre la faible consommation de citron et l'apparition de la maladie ?
Il me semble que ce n'est pas assez scientifiquement probant ; mille autres facteurs ont pu intervenir. C'est différent de la prise d'un médicament contenant un molécule bien précise.
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
Avec l'image et l'original de l'excellent texte !
Soyons indulgents et admettons la coquille peut-être due à un copier-coller pour soufflent au lieu de soufflant, ce qui permet de se libérer d'un « et ».
Par ailleurs, les vents devaient être d'une telle violence que l'adverbe fort nécessitait un pluriel.
Claude a écrit :Avec l'image et l'original de l'excellent texte !
Soyons indulgents et admettons la coquille peut-être due à un copier-coller pour soufflent au lieu de soufflant, ce qui permet de se libérer d'un « et ».
Par ailleurs, les vents devaient être d'une telle violence que l'adverbe fort nécessitait un pluriel.
Un S qui s'est envolé après avoir été arraché à un autre mot par le vent violent
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
C'est assez classique ! « Plus tard » lève toute ambiguïté, mais la phrase reste maladroite. On aurait pu avoir pis que cela : Une mère recontacte le fils qu'elle a abandonné sur un réseau social !
Correction simple :
Une mère recontacte le fils qu'elle a abandonné, soixante ans plus tard.
Autres possibilités :
Soixante ans plus tard une mère recontacte le fils qu'elle a abandonné.
Une mère recontacte soixante ans plus tard le fils qu'elle a abandonné.
Des personnes très soucieuses de leur langue évitent de dire que l'on contacte ou recontacte quelqu'un.