désâmer

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Claude
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Message par Claude »

Perkele a écrit :Un seul lien vous manque et tout est désâmé...
Ah ! Si on ne vous avait pas...
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Perkele
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Message par Perkele »

Claude a écrit :
Perkele a écrit :Un seul lien vous manque et tout est désâmé...
Ah ! Si on ne vous avait pas...
Il se trouverait bien quelqu'un d'autre pour vous tapoter des bêtises avec ses petites mimines sur un autre clavier, à un autre point du globe...
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
codrila

Message par codrila »

Voyez page 2 du sujet Codrila, j'ai corrigé votre lien et c'est bon, votre message apparaît avec ledit lien.
Merci Jacques! Vous êtes notre bonne âme :)
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Jacques
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Message par Jacques »

Vous êtes vraiment trop aimable, mais je vous assure que Claude a pris aussi sa part dans le dénouement de l'affaire, et que c'est lui qui m'a mis sur la piste. Je partage donc avec lui vos éloges.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
amourdeliceetorgue

Message par amourdeliceetorgue »

Je reviens à vous qui écrivez
Brazilian dude a écrit :C'est: Na cały ten świat, wszechwładny jeszcze, ale już bezduszny, uwieńczony i rospasany.
Dans tout le monde, tout-puissant, mais déjà désâmé, couronné de lauriers et débauché.
.....
J'ai trouvé une grosse faute de traduction dans Žert (La Plaisanterie), de Milan Kundera, où le traducteur portugais a écrit toalha (serviette pour la table) au lieu de pasta (serviette pour les documents). ... Ja'ai écrit sur ce sujet sur mon blog.
J'ai lu en effet il y a quelque temps que "L'insoutenable légèreté de l'être" qui a fait connaître internationalement Kundera avait été tout particulièrement mal traduit à l'origine. Ce qui n'a donc pas empêché son succès. Il y a peut-être de "mauvaises" traductions qui peuvent porter chance à leur auteur.
En ce qui concerne Quo vadis, je ne sais combien de traductions il en a été faite, ni si la première a été la bonne, en tout cas il s'y trouve des phrases étonnantes comme: les grues se mirent à gruer. Ma traduction est ancienne, elle est illustrée par Jan Styka en date de 1903 avec des planches très impressionnantes, notamment du cirque romain avec de bêtes fauves, croix sanglantes et auroch monstrueux etc.
Enfin j'ai fini ma lecture, je quitte saint Pierre crucifié et suis bien aise de retrouver un Benoît XVI sain et sauf vingt siècles plus tard.

Je ne voudrais pas quitter ce roman néronien sans offrir au forum 3 adjectifs qui m'ont bien plu :
une voix trémolante
un crâne dénu
une main pote
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