Ah ! Si on ne vous avait pas...Perkele a écrit :Un seul lien vous manque et tout est désâmé...
désâmer
- Perkele
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Il se trouverait bien quelqu'un d'autre pour vous tapoter des bêtises avec ses petites mimines sur un autre clavier, à un autre point du globe...Claude a écrit :Ah ! Si on ne vous avait pas...Perkele a écrit :Un seul lien vous manque et tout est désâmé...
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
Je reviens à vous qui écrivez
En ce qui concerne Quo vadis, je ne sais combien de traductions il en a été faite, ni si la première a été la bonne, en tout cas il s'y trouve des phrases étonnantes comme: les grues se mirent à gruer. Ma traduction est ancienne, elle est illustrée par Jan Styka en date de 1903 avec des planches très impressionnantes, notamment du cirque romain avec de bêtes fauves, croix sanglantes et auroch monstrueux etc.
Enfin j'ai fini ma lecture, je quitte saint Pierre crucifié et suis bien aise de retrouver un Benoît XVI sain et sauf vingt siècles plus tard.
Je ne voudrais pas quitter ce roman néronien sans offrir au forum 3 adjectifs qui m'ont bien plu :
une voix trémolante
un crâne dénu
une main pote
J'ai lu en effet il y a quelque temps que "L'insoutenable légèreté de l'être" qui a fait connaître internationalement Kundera avait été tout particulièrement mal traduit à l'origine. Ce qui n'a donc pas empêché son succès. Il y a peut-être de "mauvaises" traductions qui peuvent porter chance à leur auteur.Brazilian dude a écrit :C'est: Na cały ten świat, wszechwładny jeszcze, ale już bezduszny, uwieńczony i rospasany.
Dans tout le monde, tout-puissant, mais déjà désâmé, couronné de lauriers et débauché.
.....
J'ai trouvé une grosse faute de traduction dans Žert (La Plaisanterie), de Milan Kundera, où le traducteur portugais a écrit toalha (serviette pour la table) au lieu de pasta (serviette pour les documents). ... Ja'ai écrit sur ce sujet sur mon blog.
En ce qui concerne Quo vadis, je ne sais combien de traductions il en a été faite, ni si la première a été la bonne, en tout cas il s'y trouve des phrases étonnantes comme: les grues se mirent à gruer. Ma traduction est ancienne, elle est illustrée par Jan Styka en date de 1903 avec des planches très impressionnantes, notamment du cirque romain avec de bêtes fauves, croix sanglantes et auroch monstrueux etc.
Enfin j'ai fini ma lecture, je quitte saint Pierre crucifié et suis bien aise de retrouver un Benoît XVI sain et sauf vingt siècles plus tard.
Je ne voudrais pas quitter ce roman néronien sans offrir au forum 3 adjectifs qui m'ont bien plu :
une voix trémolante
un crâne dénu
une main pote