en général ?Perkele a écrit :Vous m'épatez ! :DDame Vérone a écrit :Allez chez le boulanger !
Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre.
Je n'ai JAMAIS écrit "Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre".JR a écrit :en général ?Perkele a écrit :Vous m'épatez ! :DDame Vérone a écrit :Allez chez le boulanger !
Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre.
Jacques a écrit :À la fin du XIXe siècle, un certain poète nommé Ozenne en mit la recette en vers :
Dans votre bol en porcelaine,
Un jaune d'œuf étant placé,
Sel, poivre, du vinaigre à peine,
Et le travail est commencé.
Oui, le poème qui l'a inspiré est Le Vase brisé de Sully Prudomme. Mais je ne l'ai pas trouvé dans un recueil, seulement dans un ouvrage intitulé Le Livre des questions bizarres.embatérienne a écrit :Ah, je ne connaissais pas : c'est délicieux et l'on reconnaît immédiatement le poème célèbre qui a inspiré cette parodie.Jacques a écrit :À la fin du XIXe siècle, un certain poète nommé Ozenne en mit la recette en vers :
Dans votre bol en porcelaine,
Un jaune d'œuf étant placé,
Sel, poivre, du vinaigre à peine,
Et le travail est commencé.
Pour ce qui me concerne non, je ne peux rien expliquer. Je vois bien ce commentaire dans votre message, mais si vous n'en êtes pas l'auteur, comment diable y est-il venu ?JR a écrit : Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre.
Je n'ai JAMAIS écrit "Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre".
Quelqu'un peut-il m'expliquer comment cet ajout est apparu ?
C'est exactement ma question.Jacques a écrit :Je vois bien ce commentaire dans votre message, mais si vous n'en êtes pas l'auteur, comment diable y est-il venu ?
Je peux : il s'agit de la réponse que je vous faisais, mais je me suis trompée de bouton, j'ai utilisé celui de la modération.JR a écrit :Je n'ai JAMAIS écrit "Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre".JR a écrit :en général ?Perkele a écrit : Vous m'épatez ! :D
Oui, nous avons, de famille, un appendice nasal de ce genre.
Quelqu'un peut-il m'expliquer comment cet ajout est apparu ?
Alors permettez-moi de vous offrir le recueil complet posthume, disponible sur Gallica.Jacques a écrit :Oui, le poème qui l'a inspiré est Le Vase brisé de Sully Prudomme. Mais je ne l'ai pas trouvé dans un recueil, seulement dans un ouvrage intitulé Le Livre des questions bizarres.
LE BOUDIN DE NOËL
LES cloches dans les airs, en joyeux carillons,
Appellent les chrétiens aux prières divines,
Des parfums odorants s'échappent des cuisines,
Symptômes précurseurs des joyeux réveillons !
Les étalages sont féeriques
Et partout, dans tous les quartiers,
Ce ne sont qu'assauts homériques
A la porte des charcutiers.
L'on voit apparaître, agapes magistrales !
Ces monceaux de boudins, d'aspect appétissant,
S'enroulant sur les plats en immenses spirales,
Où le porc a versé le plus pur de son sang !
C'est le boudin qu'il est de mode
De fêter en ce jour chrétien.
Je dirai comme il s'accommode,
Lecteur, si vous le voulez bien.
Ceint de ses tabliers comme en un long suaire,
Mon charcutier très solennel,
M'a livré, m'entraînant jusqu'en son sanctuaire,
Le secret professionnel !