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Publié : mer. 22 déc. 2010, 10:10
par Madame de Sévigné
Claude a écrit :Facile !
Un grand merci, Claude.
Le nom de cette dame est un de mes nombreux surnoms !!! :lol:

Publié : mer. 22 déc. 2010, 10:17
par Claude
Je suis heureux de vous avoir fait plaisir :wink: mais méfiez-vous ! À l'avenir nous pourrions vous nommer ainsi sur notre cher forum.

Publié : mer. 22 déc. 2010, 10:21
par Madame de Sévigné
En toute franchise,
Je préfère Marquise !

Publié : mer. 22 déc. 2010, 15:22
par Dame Vérone
Celle dont vous portez le surnom n'était peut-être pas marquise, mais certainement vedette !

Publié : mer. 22 déc. 2010, 16:33
par Claude
On ne pourra pas vous accuser d'avoir fait de la pub ; bravo, Dame Vérone !

Publié : mer. 22 déc. 2010, 16:59
par Jacques
Dame Vérone a écrit :Celle dont vous portez le surnom n'était peut-être pas marquise, mais certainement vedette !
Hou la la ! Elle vient de loin.

Publié : mer. 29 déc. 2010, 18:08
par Manni-Gédéon
http://www.nouvo.ch/2010/09/livre-%C3%A ... ou-presque

e-readers.ch
Quel beau nom pour une plate-forme de livres électroniques en français, destinée aux Suisses romands ! :evil:

Les Suisses sont tout aussi anglomaniaques que les Français, hélas.

Publié : mer. 29 déc. 2010, 19:37
par Jacques
Il en va probablement de même pour nos amis belges.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 8:13
par abgech
manni-gedeon a écrit :...
Les Suisses sont tout aussi anglomaniaques que les Français, hélas.
Je pense que c'est encore pire !

Nous devrions prendre exemple sur nos amis québécois qui semblent faire un effort important de maintien de la langue française. À moins que l'éloignement me fasse voir les choses avec des lunettes roses.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 9:25
par Jacques
Les Québécois se déclarent choqués par le peu de souci que les Français ont de protéger la langue contre l'anglomanie, un domaine où eux-mêmes doivent se montrer particulièrement attentifs.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 9:45
par Sgavaudura
abgech a écrit :
manni-gedeon a écrit :...
Les Suisses sont tout aussi anglomaniaques que les Français, hélas.
Je pense que c'est encore pire !

Nous devrions prendre exemple sur nos amis québécois qui semblent faire un effort important de maintien de la langue française. À moins que l'éloignement me fasse voir les choses avec des lunettes roses.
Pire que les italiens c'est impossible.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 10:39
par Jacques-André-Albert
En somme, c'est une manie qui a atteint tous les pays d'Europe de l'ouest, pour le moins.
Mais, sur le sujet de l'abus de l'anglais, une coalition des locuteurs de langue romane serait peut-être à souhaiter ? Une de mes belles-filles, qui travaille dans le domaine des traitements sur les végétaux, me disait tout récemment que lorsqu'elle rencontre des collègues du sud de l'Europe (Italie, Espagne, Portugal), ceux-ci préfèrent le français à l'anglais dans leurs échanges.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 11:49
par Sgavaudura
L'espagnol et le français se défendent beaucoup mieux que l'italien. Par exemple, dans le champ lexical informatique, domaine de l'anglais, pour mouse et computer, l'italien emploie paresseusement les formes anglaises (avec la faible concurrence de calcolatore pour computer) où l'espagnol a créé ratón et ordenador et le français souris et ordennateur.

Publié : ven. 31 déc. 2010, 12:43
par Claude
Sgavaudura a écrit :...et le français souris et ordennateur.
Je me permets une petite rectification : souris et ordinateur. :wink:

Publié : ven. 31 déc. 2010, 13:24
par Jacques
Je me permets aussi de souligner que les Français n'ont pas créé récemment le mot ordinateur, apparu dans notre langue en 1491, formé sur le latin impérial ordinator : celui qui met de l'ordre, terme appliqué au Christ venu sur terre dans ce but. IBM France a proposé en 1954 de ressusciter ce mot ancien, qui s'est imposé en remplacement de computeur, qui n'avait pas bien pris. Il y a semble-t-il une explication : si les Américains on créé computer, venu du latin computare, « compter », c'est parce qu'ils considéraient cet appareil comme une machine à calculer, alors que les Français et les Espagnols notamment, y voyaient un instrument pour organiser, traiter des données (il est évident que ordenador a la même origine qu'ordinateur) ; c'est d'ailleurs pour cette même raison que les Norvégiens emploient le terme datamaskin.
Ainsi nous employons un nom vieux de plus de cinq siècles pour un engin qui domine le monde technique du XXIe.