Ce moi je de Victor Hugo s'inscrit dans un autre ordre d'idée, car il s'oppose à vous et de ce fait crée un équilibre : Vous avez ceci et encore ceci, moi je n'ai que cela.
Il aurait même pu dire : vous vous avez et moi j'ai. Ce n'est pas un moi je égocentrique. Nous avons bien là une tautologie qui renforce l'expression de la pensée, et non un centrage sur soi-même.