Je me pose la même question. Il est vrai que je n'ai jamais été bien brillant dans les analyses logiques.
À vrai dire, j'aurais tendance à penser qu'il y a deux propositions indépendantes, la virgule après finir pourrait aussi bien être remplacée par un point.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Il n'y a pas de subordonnée mais, en effet, deux indépendantes. Le que trompeur n'est que la seconde partie de la locution adverbiale de restriction ne... que.
Je rappelle aussi que dans le message annonçant la validation de l'inscription, il était instamment recommandé de choisir avec soin la rubrique où l'on veut traiter une question, et je constate que cette affaire grammaticale est traitée dans celle qui concerne le vocabulaire. Il y a pourtant une rubrique grammaire.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Toute proposition subordonnée est introduite par une conjonction de subordination (c'est une subordonnée conjonctive) ou un pronom relatif (c'est une subordonnée relative). Il n'y a ni l'un ni l'autre, et pas de second verbe actif, c'est une indépendante d'un bout à l'autre.
Pour la compréhension de la phrase à l'oral, il serait préférable de dire : Denise, gagnée par les larmes... Même à l'écrit c'est plus académique.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).