Ce qui m'étonne, c'est qu'ils arrivent à s'y retrouver alors que ces douze tons ne sont certainement pas des hauteurs absolues, mais doivent varier selon le registre de la voix de chacun. On ne pourrait donc pas, en toute logique, comprendre quelqu'un qu'on ne connaît pas avant de l'avoir entendu parler suffisamment longtemps pour avoir eu un aperçu auditif de toute la gamme.Jacques a écrit :Il doit falloir une sacrée oreille pour arriver à distinguer ces tons.
Mais, pardon, j'alimente la digression.