Islwyn a écrit :Ah bon, « nascetur ridiculus mus », alors ? Moi aussi d'ailleurs j'utilise Internet Explorer.
Donc il y a des probabilités pour que ma supposition soit fausse. Alors c'est le grand mystère. Avec l'informatique on n'est jamais au bout des énigmes. C'est l'éternel principe de Murphy : If someting may go wrong, it will.
Je traduis pour éviter les foudres de Claude : S'il y a une seule chance pour que quelque chose tourne mal, cela finira toujours par arriver.
Ah, la concision de la langue anglaise !
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Islwyn a écrit :Ou encore : s'il y a possibilité d'erreur, il y aura erreur.
Oui, mais ce n'était pas l'idée du capitaine Murphy. Pendant des années il a mené des enquêtes auprès d'une multitude de gens sur les petits accidents et malheurs de la vie courante. Il en a tiré ses statistiques sur la méchanceté des choses et des faits. N'oublions pas qu'en français, son principe s'appelle aussi loi de l'emm... maximum, et se démontre par l'expérience de la tartine beurrée qui, si on la laisse tomber, arrive toujours au sol du côté du beurre. Démonstration qui s'étend à la tartine de confiture. http://www.peif.net/murphy.htm
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Jacques a écrit :[...] Je traduis pour éviter les foudres de Claude : S'il y a une seule chance pour que quelque chose tourne mal, cela finira toujours par arriver. [...]
Tout comme Jacques, le champ de texte s'affiche normalement chez moi. Je navigue avec Google Chrome.
La cancoillotte est mon cauchemar. La personne avec qui je vis en consomme parfois des tartines le matin, en même temps qu'elle prend son café. Je vois cela comme un exploit de l'estomac.
« J’écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu’au plus profond de l’obscurité. »
(Kafka, cité par Mauriac)
Je me permets d'intervenir dans le débat. Je n'ai pas de sympathie pour la cancoillotte, mes excuses Claude. Quand j'étais jeune, mon régal du petit déjeuner se comparait à celui de cette personne : des tartines avec du beurre et du camembert à tremper dans le café au lait.
Je compatis cependant au dégoût de klausinski.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
... ce début d’incendie est négocié à l'extincteur. ...
Maintenant, lorsque l'on parle d'un négociant, on ne peut plus savoir s'il s'agit d'un commerçant, d'un pilote d'automobile (qui négocie un virage) ou d'un pompier !
Jacques a écrit :En voilà une bonne ! Les pompiers négocient les incendies.
Mais oui, on les voit bien, les pompiers qui entrent en négociations avec un incendie, sans doute assis à la table de négociation. Ces pourparlers seront assez chauds...