Le monolinguisme anglophone dans les échanges européens
Publié : jeu. 02 avr. 2015, 5:54
Un quotidien français bien connu (pas pour la qualité de sa prose) s'interroge.
La suite iciDésormais, des gens qui ne maîtrisent qu’imparfaitement l’anglais produisent des textes de basse qualité (les professionnels du droit s’en plaignent de plus en plus), parfois tout simplement incompréhensible et donc "intransposable" en droit interne : il suffit, dans un service, qu’un seule personne ne parle pas français alors que tous les autres sont plus à l’aise dans cette langue pour que toute la procédure bascule en anglais. Et les fonctionnaires reconnaissent qu’ils sont obligés de faire très simple, car la complexité s’accommode rarement de l’emploi d’une langue étrangère, sauf, bien sûr, exceptions.