Sachant bien que le Parc des Princesses n'est pas le quai Conti, je trouve quand même qu'avec deux fautes inexcusables en si peu de mots elle pousse un peu.
aujoourd'hui 11 juillet : j'ai corrigé ma grosse faute de construction
![[embarrassé] :oops:](./images/smilies/icon_redface.gif)
Mais si, mais si...
Dans ma région, ce mot peut être affectueux.
Effectivement ! On devrait sans doute le trouver chez Marcel Pagnol.
https://www.cairn.info/revue-vie-social ... age-71.htmNéanmoins, elles demeurent disqualifiées : leur solide étiquette « handicapé » leur confère un statut dévalorisant et les résume trop souvent à une « personne incapable ».
Directeur d’un esat, je suis témoin au quotidien des souffrances que génère le terme stigmatisant de « travailleur handicapé ». L’un deux me disait encore récemment : « Comment voulez-vous que je trouve du boulot dès qu’un employeur voit sur mon CV : “travailleur handicapé” ? C’est mort… », et un autre : « Je déteste ce mot “handicapé”, il ne faut pas le dire ! »
[...]
Sémantiquement parlant, le concept de « situation de handicap » évite le piège du discours ségrégationniste et dévalorisant. Ainsi le terme « personne en situation de handicap » est considéré comme plus approprié parce qu’il met l’accent sur l’environnement.
https://informations.handicap.fr/a-choi ... s-5633.phpCet anglicisme a ensuite engendré le substantif « handicapé » qui apparait officiellement dans les textes de loi français en 1957, le plus souvent accolé au mot « travailleur », puis poursuit sa métamorphose en se déclinant en « personne handicapée ».
Cela rappelle "La guerre des boutons".