Madame de Sévigné a écrit : ce qui a engendré la dépression du post-partum, ou le baby-blue ( !)
Il s'agit du baby blues (au pluriel et sans trait d'union). Baby-blue est le bleu clair souvent utilisé dans la layette classique.
En lisant votre phrase, j'ai l'impression (peut-être fausse) que vous donnez le même sens à la dépression du post-partum (ou post-natale) et au baby blues. La première persiste si elle n'est pas soignée et elle peut apparaître quelques mois plus tard alors que le second est une déprime passagère qui suit directement l'accouchement. Il y a une assez bonne explication ici : http://www.psychonet.fr/2001/01/15/1020 ... -ca-va-pas
Je ne dis pas cela pour vous ennuyer ou pour étaler ma culture, mais ça m'interpelle au niveau du vécu.
manni-gedeon a écrit :Il s'agit du baby blues (au pluriel et sans trait d'union). Baby-blue est le bleu clair souvent utilisé dans la layette classique.
On peut dire que l'un et l'autre sont assez liés (sauf si le nouveau-né est une fille).
Madame de Sévigné a écrit :[...]Bernard-M, expliquez-moi...
À quoi bon, Marquise ! Ils vous ont tout dit.
Avec tout ce que je viens d'apprendre, il va me falloir mettre un addenda aux pages roses de mon ancestral Petit Larousse !
Madame de Sévigné a écrit :[...]Bernard-M, expliquez-moi...
À quoi bon, Marquise ! Ils vous ont tout dit.
Avec tout ce que je viens d'apprendre, il va me falloir mettre un addenda aux pages roses de mon ancestral Petit Larousse !
Baby blues, avec un s bien sûr.
Merci pour le lien, je ne faisais pas la différence, effectivement.
Dans la langage religieux courant, on trouve un pater , un ave, un bénédicité, un oratorio, et l'angelus.....
Un paterfamilias emmène sa progéniture voir un aquarium, pendant que son épouse joue les piétà ou les mater dolorosa.
Madame de Sévigné a écrit :Baby blues, avec un s bien sûr.
Merci pour le lien, je ne faisais pas la différence, effectivement.
Dans la langage religieux courant, on trouve un pater , un ave, un bénédicité, un oratorio, et l'angelus.....
Un paterfamilias emmène sa progéniture voir un aquarium, pendant que son épouse joue les piétà ou les mater dolorosa.
Tous latins, sauf l'oratorio, italien comme concerto, pianoforte, et tutti quanti.
Le " mec plus ultra", n'était-ce pas celui qui avait le droit de monter sur la plus haute marche du podium(*) dressé au milieu de l'oppidum au milieu des opopanax ?
(*)podium (1765; mot lat., du gr.) me dit le Petit Robert. Alors grec ou latin ?