Noms communs venant de noms propres.
- Madame de Sévigné
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Merci pour le cours, Jacques, car j'ignorais ce détail !
Du coup, je ne me contente plus de mon Larousse, mais je prends mon Dictionnaire historique de la langue française, qui bien sûr vous donne raison :
Guillotine n. f. a été formé (1790) à partir du nom d'un médecin Guillotin (1738-1814) qui préconisa l'usage de cet instrument de supplice inventé par le médecin Louis (on l'appela la louisette) pour abréger les souffrances du condamné à mort ; un instrument analogue à la guillotine était utilisé depuis le XVI° siècle en Italie, remplaçant la décapitation à la hache ou au sabre.
Apparu en français en 1790, le mot est tristement typique de l'époque de la Terreur; après la Révolution, il est resté l'emblème de la peine de mort en France, avec ses apprêts plus ou moins symboliques, jusqu'à l'abolition de cette peine.
Du coup, je ne me contente plus de mon Larousse, mais je prends mon Dictionnaire historique de la langue française, qui bien sûr vous donne raison :
Guillotine n. f. a été formé (1790) à partir du nom d'un médecin Guillotin (1738-1814) qui préconisa l'usage de cet instrument de supplice inventé par le médecin Louis (on l'appela la louisette) pour abréger les souffrances du condamné à mort ; un instrument analogue à la guillotine était utilisé depuis le XVI° siècle en Italie, remplaçant la décapitation à la hache ou au sabre.
Apparu en français en 1790, le mot est tristement typique de l'époque de la Terreur; après la Révolution, il est resté l'emblème de la peine de mort en France, avec ses apprêts plus ou moins symboliques, jusqu'à l'abolition de cette peine.
- Claude
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Ainsi que pour uniformiser les modalités d’application de la peine capitale, quels que soient le crime et la condition du condamné ; auparavant la décapitation à l’épée (ou à la hache) était réservée aux nobles ; la pendaison aux voleurs ; le bûcher aux hérétiques ; la roue aux bandits de grands chemins ; l’écartèlement aux régicides ; le bouillage aux faux-monnayeurs.Le dictionnaire historique de la langue française détenu par la marquise a écrit :...pour abréger les souffrances du condamné à mort...
- Madame de Sévigné
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- Inscription : ven. 09 oct. 2009, 22:50
- Localisation : Nantes
Un marathon : n. m. issu de Marathon, nom d'une localité et d'une plaine de l'Attique, où les Grecs, en 490 avant J.-C., remportèrent avec Miltiade une victoire décisive sur les Perse et d'où partit un soldat qui mourut d'épuisement, après une course de 40 km, en arrivant à Athènes pour y annoncer la bonne nouvelle.
- Dame Vérone
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- Dame Vérone
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- Madame de Sévigné
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- Jacques
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Avons-nous cité la cravate qui vient de Croate ? Et l'ammoniac qui vient du dieu Ammon ? Le volcan issu du nom de Vulcain ? La mayonnaise de Port-Mahon ? La reine-claude du nom de l'épouse de François 1er ? Et la coquille Saint-Jacques ?
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
- Madame de Sévigné
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- Jacques
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- Inscription : sam. 11 juin 2005, 8:07
- Localisation : Décédé le 29 mai 2015, il était l'âme du forum
Permettez chère marquise : ammoniac avec C, nom masculin désignant le gaz ; ammoniaque nom féminin désigne le liquide, la solution ammoniacale. Le nom fut donné à ce gaz qui est produit par les matières organiques en décomposition, à cause d'un temple situé dans le désert de Libye, dédié à Ammon Râ, où les pèlerins laissaient leurs chameaux à proximité pendant qu'ils étaient à leurs dévotions. Le gaz provenant de leurs déjections était récolté sur place, pour je ne sais quel usage.Madame de Sévigné a écrit :Epatant, Jacques !
J'ignorais la cravate, la mayonnaise (j'aurais dit M. ou Mme Mayonnaise !) et l'ammoniaque.
A suivre....
Cravate : du nom d'un régiment, le royal croate, déformé en royal cravate, composé de soldats venus de ce pays, qui servaient dans la garde royale de Louis XIV et qui portaient un tissu noué au jabot, qu'on appela cravate.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
- Dame Vérone
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- Jacques-André-Albert
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- Madame de Sévigné
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