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[Perkele]

Le français standard, de nos jours, ne serait-ce pas celui de la télévision ?

[Jacques-André-Albert]

*NB : Pour être qualifié de Parisien, il suffit de venir de quelque kilomètre au nord de celui qui qualifie. :D

À Paris, pour mériter le qualificatif de parisien, il faut habiter strictement à l'intérieur de l'anneau du boulevard périphérique. Ici, en Anjou, même les habitants de Chartres sont considérés comme des Parisiens.

[Jacques]

Le français standard, de nos jours, ne serait-ce pas celui de la télévision ?

Alors, si c'est ça le français standard, avec les barbarismes, impropriétés, anglicismes et le massacre de la prononciation en prime, c'est une calamité.

[Jacques]

*NB : Pour être qualifié de Parisien, il suffit de venir de quelque kilomètre au nord de celui qui qualifie. :D

À Paris, pour mériter le qualificatif de parisien, il faut habiter strictement à l'intérieur de l'anneau du boulevard périphérique. Ici, en Anjou, même les habitants de Chartres sont considérés comme des Parisiens.

C'est une conception très étendue du parisianisme.

[Jacques-André-Albert]

Le français standard, de nos jours, ne serait-ce pas celui de la télévision ?

Si c'est le cas, il n'est vraiment pas exemplaire ; et puis les accents sont variables : je suis étonné du nombre de Provinciaux qui travaillent dans les différentes chaînes de télévision. Vous savez, les Parisiens sont maintenant minoritaires à Paris, voire absents dans certains quartiers peuplés d'étrangers.

[Perkele]

Eh oui, les deux Jacques, je comprends votre peine, on ne peut cependant nier que c'est ce son qui pénètre les oreilles de nos chères têtes blondes...

[Jacques]

C'est pernicieux.

[codrila]

Vous savez, les Parisiens sont maintenant minoritaires à Paris, voire absents dans certains quartiers peuplés d'étrangers.

Ben, il ne doit pas y avoir un grand nombre de familles dont la présence à Paris soit attestée depuis la lointaine Lutèce. Et comme l'accroissement naturel ne suffit pas à expliquer l'explosion démographique de notre capitale au cours des siècles, j'en déduis que la grande majorité des Parisiens ont des ancêtres auvergnats, berrichons, gascons ou venant de Pamperigouste :D

Dans la ville phocéenne, dans les " quartiers", ces estrangers parlent souvent, dans les cités, avec un pur accent du terroir marseillais, à couper au couteau.

[JR]

*NB : Pour être qualifié de Parisien, il suffit de venir de quelque kilomètre au nord de celui qui qualifie. :D

À Paris, pour mériter le qualificatif de parisien, il faut habiter strictement à l'intérieur de l'anneau du boulevard périphérique. Ici, en Anjou, même les habitants de Chartres sont considérés comme des Parisiens.

C'est une conception très étendue du parisianisme.

N'oublions pas que, chaque jour, des gens viennent de bien plus loin (Rouen ou Orléans, par exemple) pour travailler à Paris.

[Jacques-André-Albert]

Ben, il ne doit pas y avoir un grand nombre de familles dont la présence à Paris soit attestée depuis la lointaine Lutèce. Et comme l'accroissement naturel ne suffit pas à expliquer l'explosion démographique de notre capitale au cours des siècles, j'en déduis que la grande majorité des Parisiens ont des ancêtres auvergnats, berrichons, gascons ou venant de Pamperigouste :D

Certes, mais jusqu'aux années soixante, l'assimilation se faisait bien et au bout d'une ou deux générations, on parlait avec l'accent parisien. Maintenant, c'est terminé.

[Jacques]

Ben, il ne doit pas y avoir un grand nombre de familles dont la présence à Paris soit attestée depuis la lointaine Lutèce. Et comme l'accroissement naturel ne suffit pas à expliquer l'explosion démographique de notre capitale au cours des siècles, j'en déduis que la grande majorité des Parisiens ont des ancêtres auvergnats, berrichons, gascons ou venant de Pamperigouste :D

J'en ai même connu qui venaient de Pétaouchnoque ! :D

[JR]

J'ai toujours été amusé par l'expression "monter à Paris", alors que cette ville est au fond d'une cuvette.

[Perkele]

J'ai longtemps cru que cette expression était propre aux gens du sud qui, en référence à la carte de France affichée dans la salle de classe de leur enfance "montaient à Paris". Puis, ma théorie s'est effondrée en entendant mes beaux-parents (Lorrains) annoncer qu'ils allaient "monter sur la Côte d'Azur"...

[Jacques]

J'ai toujours eu le même sentiment. Nous sommes-nous donc trompés ?

[Gerard 63]

J'ai longtemps cru que cette expression était propre aux gens du sud qui, en référence à la carte de France affichée dans la salle de classe de leur enfance "montaient à Paris". Puis, ma théorie s'est effondrée en entendant mes beaux-parents (Lorrains) annoncer qu'ils allaient "monter sur la Côte d'Azur"...

Je pense que cette expression vient effectivement de la verticalité nord sud, avec l'exception notable de Paris qui, en tant que capitale, voit "monter" ses visiteurs.
Mais j'ai un neveu qui veut connaître les altitudes des endroits à voir pour savoir s'il doit "monter" ou "descendre" au cours de ses voyages...