Je vois bien aussi ce qu'a voulu dire l'auteur, mais on ne peut pas fabriquer des mots à sa guise selon ses besoins.
On en trouve quelques traces sur Internet, j'ai l'impression que c'est l'univers pharmaco-médical (ou médicopharmaceutique) qui a lancé le barbarisme.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Gageons que les paresseux qui créent ainsi des barbarismes se revendiqueront, pour se justifier, de la façon dont l'anglais crée tous les verbes dont il a besoin en mettant simplement "to" devant un substantif quelconque.