"Serrer les bonnes mains"
Serrer les bonnes mains
Bonjour,
"Avoir de l'entregent" !
(Même pas trouvé ton expression italienne sur "Linguee")
Bon courage pour ta traduc ou ta lettre.
Casse pas toujours vide.
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Heureux qui comme Alice...
"Avoir de l'entregent" !
(Même pas trouvé ton expression italienne sur "Linguee")
Bon courage pour ta traduc ou ta lettre.
Casse pas toujours vide.
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Heureux qui comme Alice...
- Claude
- Messages : 9173
- Inscription : sam. 24 sept. 2005, 8:38
- Localisation : Décédé le 24 août 2022. Humour et diplomatie. Il était notre archiviste en chef.
Cassevide, je me permets d'attirer votre attention sur la charte de bonne conduite en vigueur, notamment son 9e engagement.
Merci.
Merci.
Avatar : petit Gaulois agité (dixit Perkele)
- Klausinski
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- Inscription : mar. 12 déc. 2006, 23:54
- Localisation : Aude
Chose étrange, en lisant le titre du sujet, l'expression « serrer les bonnes mains » m'a d'abord paru bien française. Elle se comprend aisément et il est vrai qu'on ne peut s'empêcher de penser qu'il en existe un équivalent français. Pour le moment, je ne trouve rien d'autre que l'expression « faire son trou ».
« Avoir de l'entregent », proposé par Cassevide, me semble aussi convenir assez bien. On dit encore, sans image : « jouer de ses relations ».
« Avoir de l'entregent », proposé par Cassevide, me semble aussi convenir assez bien. On dit encore, sans image : « jouer de ses relations ».
« J’écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu’au plus profond de l’obscurité. »
(Kafka, cité par Mauriac)
(Kafka, cité par Mauriac)
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- Messages : 7437
- Inscription : dim. 17 févr. 2013, 14:22
- Klausinski
- Messages : 1295
- Inscription : mar. 12 déc. 2006, 23:54
- Localisation : Aude
Merci, André. Je crois bien que je n'avais pas changé d'avatar depuis 2006. Si je lui ressemblais un peu au début, ce n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
« J’écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu’au plus profond de l’obscurité. »
(Kafka, cité par Mauriac)
(Kafka, cité par Mauriac)