Les plus de soixante ans, dont je fais pareillement partie, ont souvent siffloté ou chantonné Le Temps des cerises étant jeunes en y voyant évoqué un amour déçu. Puis on leur a dit que la chanson était inspirée par l'échec de la Commune de Paris. Mais plus tard ils ont appris qu'elle avait été composée en 1968, avant la Commune donc, et n'avait peut-être rien à voir avec elle. Or plus tard encore, il a été dit que son auteur, Jean-Baptiste CLÉMENT, avait participé lui-même au mouvement et dédiait sa composition à une insurgée. Difficile de connaître le fin mot de l'affaire.
Lorsqu'on veut, sur FNBL, éviter des redondances ou s'assurer de l'adéquation de son sujet à une rubrique, on peut taper ci-dessus, à gauche de Rechercher, un mot en rapport avec ce que l'on souhaite écrire.
Après « bien que », un subjonctif passé convient parfois : Bien que son voisin l'AIT souvent INVITÉ*, il n’est jamais allé chez lui. En tout cas, entre renoncement au temps passé et renoncement au mode subjonctif, j'ai une préférence pour le premier !
Bienvenue à vous, Merle-moqueur.
* Me trouvant actuellement à l'étranger, je constate que la barre d'outils ci-dessus ne fonctionne pas. C'est la raison de ces majuscules et de l'absence d'italiques pour le titre Le temps des cerises.
Le texte a été effectivement écrit en 1866. 1868, à quoi je pensais bien sûr, est l'année de composition de la musique de la chanson, par Antoine RENARD.