Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur(deuxième partie)

Diberis · Message par **Diberis** » mar. 26 juin 2018, 19:56

Bonsoir,
Dans le chapitre 14, page 211 on peut lire :

- N'importe qui peut venir violer qui *il veut, avec le peu de cas qu'en font ceux qui dirigent ce comté !

Pourrait-on dire grosso modo que le premier "qui" = *il ? Merci de vos réponses.

jarnicoton · Message par **jarnicoton** » jeu. 28 juin 2018, 0:49

Oui...

Message par **Astragal** » jeu. 28 juin 2018, 1:17

On pourrait dire que « il » est mis pour « n'importe qui ».

Diberis · Message par **Diberis** » jeu. 28 juin 2018, 17:04

Merci à tous les deux pour votre aide.

Yeva Agetuya · Message par **Yeva Agetuya** » sam. 30 juin 2018, 11:15

Euh....

Le deuxième "qui" désigne la victime :

On peut violer qui on veut

(N'importe qui = quelqu'un = on)

Message par **Claude** » sam. 30 juin 2018, 11:47

Diberis a écrit : [...] avec le peu de cas qu'en font ceux qui dirigent ce comté ! [...]

Est-il franc ce comté-là ? (c'est samedi, je digresse)

Diberis · Message par **Diberis** » sam. 30 juin 2018, 11:59

Non, les faits se déroulent dans une petite ville d'Alabama...je suis choqué pour ce livre unique dans son genre...je ne dis plus rien...il faut le lire

Yeva Agetuya · Message par **Yeva Agetuya** » sam. 30 juin 2018, 21:37

Notons une curiosité :

On peut violer qui on veut > qui désigne l'objet, la victime

Peut violer qui veut > qui désigne le sujet, le violeur

Diberis · Message par **Diberis** » dim. 01 juil. 2018, 14:32

Votre remarque est génial, je vous avoue une chose, dans ma langue maternelle ce verbe est transitif indirect, je me demande pourquoi dans la langue française ne l'est pas.

Message par **Perkele** » mar. 03 juil. 2018, 6:14

C'est souvent le cas d'une langue à l'autre.

Français notre belle langue

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