J'étais loin de penser à Jacques Coeur en citant cette devise.
Jacques a écrit :...Dans mon enfance, j'ai fait partie du mouvement Cœurs vaillants...
Moi de même ; Coeurs vaillants était le journal hebdomadaire réservé aux garçons, Âmes vaillantes aux filles et Fripounet et Marisette aux plus petits.
Je m'en étais rendu compte ; c'était un test m'assurant que vous interviendriez dans le cadre de votre délicate fonction d'animatrice en chef.
Mais vous n'êtes pas obligée de me croire.
J’en suis donc à 5 acceptions, si j’ajoute celle de Mairry : « contrariété, mécontentement ». On pourrait accepter que dans la tricherie de la partie de cartes « fendre le cœur » est susceptible de lui faire mal, mais ce cinquième sens est probablement identique au premier.
Maintenant que nous sommes revenus dans le sujet, pouvons-nous connaître, angeloï, vos impressions de ces échanges ?
Denis Normand a écrit :J’en suis donc à 5 acceptions, si j’ajoute celle de Mairry : « contrariété, mécontentement ». On pourrait accepter que dans la tricherie de la partie de cartes « fendre le cœur » est susceptible de lui faire mal, mais ce cinquième sens est probablement identique au premier.
:P
En tout cas, le jeu de mots était une trouvaille, car il est aujourd'hui ce qu'on appelle « un morceau d'anthologie », et l'un des passages les plus célèbres de la trilogie de Pagnol.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
J'essaie de vous le faire avé l'assint : « Tu me finds le coeureu ; j'ai le coeureu fanndu pareu toua ».
Si j'en fais trop n'hésitez pas à me le signaler ; toute remarque concernant mon code phonétique sera la bienvenue.
Claude a écrit :J'essaie de vous le faire avé l'assint : « Tu me finds le coeureu ; j'ai le coeureu fanndu pareu toua ».
Si j'en fais trop n'hésitez pas à me le signaler ; toute remarque concernant mon code phonétique sera la bienvenue.