La condition d'enseignant, telle qu'elle se présente de nos jours, est une tâche difficile, voire dangereuse. Mais en 1945, les élèves étaient autrement disciplinés, et l'autorité des instituteurs ne pouvait être mise en question. Je suis révolté d'apprendre que des professeurs reçoivent des coups, parfois avec une arme, de la part de bancs-becs d'une douzaine d'années à peine. Les valeurs se sont inversées. J'ai vu des instituteurs de l'époque tabasser des élèves jusqu'au sang, infliger des coups de règle sur le bout des doigts, ce qui pouvait entraîner des lésions irréversibles. Les humiliations et les sévices corporels étaient les méthodes d'après-guerre.Marco a écrit :Je ne veux pas entamer une digression, mais en tant que prof, je peux vous dire qu’il y a des classes où les perturbations proviennent de toutes parts et qu’il est parfois difficile d’identifier précisément les individus à punir. Mais je comprends, bien sûr, votre révolte.
Les petits m... d'aujourd'hui mériteraient bien de se frotter à ces méthodes disciplinaires qui leur mettraient du plomb dans la cervelle.