Rut et chaleur

[Jacques-André-Albert]

C'est une chanson très surprenante, je ne la connaissais pas. Je savais les Québécoises moins prudes que les Françaises, mais je n'aurais pas imaginé Céline Dion énumérer des obscénités avec une voix aux accents innocents.

[Claude]

Comme vous je ne la connaissais pas.
On peut citer également Georges Brassens dans « Le bulletin de santé » dont voici un des couplets :

Si j'ai trahi les gros, les joufflus, les obèses,
C'est que je baise, que je baise, que je baise
Comme un bouc, un bélier, une bête, une brut',
Je suis hanté : le rut, le rut, le rut, le rut !

[André (G., R.)]

Les paroles assez crues de Je suis en rut détonnent effectivement, comparées à celles des chansons les plus connues de la Québécoise. On remarquera toutefois que ce vocabulaire est tout à fait franco-français : j'imagine un parolier « bien de chez nous » enchanté que Céline DION ait accepté de lui faire cette publicité, soucieuse qu'elle était peut-être d'infléchir son image. Celle de Georges BRASSENS était établie de longue date !

[Yeva Agetuya]

Désolé mais j'ai fait une erreur d'attribution.

Ici, c'est Chimène Badi

[Astragal]

Je ne connaissais pas non plus.
Je précise, pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté, que la chanteuse est Sophie Duverger.

[Perkele]

Et c'est une parodie.