"Est-ce que l’urbaniste participe-t-il... ?"
"Est-ce que les Neuchâtelois paient-ils... ?"
"Est-ce que le premier ministre Papandreou parviendra-t-il…"
"Est-ce que dans le fond la Suisse a-t-elle vraiment le choix d'extrader Roman Polanski en raison de ce fameux traité ?"
La première fois que j'ai entendu ce genre de tournure, j'ai cru à un lapsus. Si les lapsus sont contagieux, il s'agit là d'une véritable épidémie.
Questions mal tournées
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Manni-Gédéon
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Jacques-André-Albert
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Jacques
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Il se contentait de reproduire en le parodiant un jeu qui eut son heure de gloire sur Radio Luxembourg dans les années cinquante : La Chose. Il s'agissait au fil des jours de deviner une chose, un objet secret par des questions auxquelles l'animateur répondait par oui ou non. Et on entendait souvent cette syntaxe : Est-ce que la chose est-elle...Jacques-André-Albert a écrit :Coluche utilisait la tournure dans son sketch du schmilblick, mais pour produire un effet comique.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).