Votre retour me réjouit.
Mais je me demande si vous allez accepter maintenant de répondre aux questions qu'on vous pose : vous savez que, sans réponses de votre part, les échanges véritables n'existent pas.
Diberiss a écrit : ↑jeu. 22 août 2019, 11:50
Bien que les mots "nos" et "notre" aient un o fermé et ouvert respectivement,
peu importe dans notre cas.
(mots mis en gras par moi)
Pourquoi affirmez-vous que la différence entre le o de « nos » et celui de « notre » serait sans importance ? C'est au contraire elle qui permet oralement de ne pas confondre « notre être » et « nos traitres ».
Diberiss a écrit : ↑jeu. 22 août 2019, 11:50Voyons les phrases suivantes :
a) Notre être.
b) Nos traîtres.
Selon le grand Pierre Léon, il avait remarqué que l'on devrait proscrire la liaison de la phrase a)
« Selon le grand Pierre Léon, il avait remarqué... » n'est pas correct :
Le grand Pierre Léon avait remarqué que l'on devrait...
ou :
Selon le grand Pierre Léon, on devrait...
Je ne pense pas que l'on puisse voir des phrases dans « Notre être » et « Nos traîtres ». Ce sont en tout cas des groupes nominaux.
Dans la prononciation [
nɔ.tʁɛtʁ] (notr'êtr'), l'absence de coupure entre [
tʁ] et [
ɛtʁ] ne constitue pas une liaison dans le sens habituel du mot. En revanche, lorsqu'on produit oralement le t final de « petit » dans « petit homme », ainsi que le veut la règle, on en fait une, car ce t est muet dans d'autres circonstances, tandis que le r de « notre » n'est normalement jamais muet.
Diberiss a écrit : ↑jeu. 22 août 2019, 11:50Ceci dit, je crains que la personne plus active de ce forum essaiera de me contredire, mais quels seront ses arguments ?

Pourquoi ne nommez-vous pas le télépapoteur concerné ?
Pourquoi utilisez-vous l'expression polémique « essayer de contredire » ? La personne la plus active du forum vous a-t-elle déjà laissé l'impression de vous contredire pour le seul plaisir de vous contredire ? En quelles circonstances ?