est-ce compréhensible ?

[Hippocampe]

Je ne suis pas d'accord.
Mais je ne vais pas redire ce que j'ai dit juste au-dessus.

[Perkele]

Et : Le ministre envisageait déjà cette réforme avant d'arriver au pouvoir. Son parti s'y était d'ailleurs engagé solennellement par la voix de son président. Le MPS avait même boycotté le vote parlementaire de 2010 pour protester contre cette réforme issue de l'accord de Vienne, perçue par beaucoup comme une « réforme des étrangers ».

[Hippocampe]

... des tournures de phrase qu’on utilise sans trop savoir si c’est « classe » ou juste bizarre.

Très amusant.

[Yeva Agetuya]

Je ne suis pas d'accord.
Mais je ne vais pas redire ce que j'ai dit juste au-dessus.

Analysez cette phrase, pour voir :

Qui était venu ce jour-là.

[Annielettre]

Salut !

Alors là, « Qui était venu ce jour-là. » balancée comme ça, toute seule, c’est une coquille vide hein. On dirait une réplique de polar mal montée, genre le flic qui réfléchit à voix haute mais dont on a zappé le début de phrase. Y manque un antécédent ou un contexte, sinon on flotte complet. Si c’est pour analyser la grammaire, ben c’est une subordonnée relative sans principale... donc c’est un peu comme ouvrir une parenthèse et jamais la refermer.

C’est un peu la même sensation qu’avec une robe trapèze longue laissée sans ourlet : la base est là, on devine la structure, mais il manque la finition qui donne du sens et fait tenir l’ensemble.

[Hippocampe]

Bienvenue, Annielettre !

[Denislang]

Salut ! Franchement, balancer "Qui était venu ce jour-là." tout seul comme ça, c’est comme arriver en plein milieu d’un film et vouloir comprendre l’intrigue… sans popcorn en plus. Y’a pas d’intro, pas de verbe principal, rien à se mettre sous la dent. On attend le reste, on guette la phrase mère, mais elle est jamais arrivée à la fête. Après, dans un style très littéraire ou genre voix off de docu Arte à 2h du mat, pourquoi pas, mais faut que ce soit sacrément bien amené sinon on reste sur notre faim.