) n'a jamais joué en ma faveur (réponse me parodiant, remarques diverses sur mon style, etc.).
Sans oublier les organismes de vente par correspondance qui systèmatisent le "chère Madame", leur clientèle ne pouvant être que féminine !Jacques a écrit : Nous recevons du courrier à caractère publicitaire, ou de sociétés dont nous sommes clients. Les « jeunes cadres dynamiques » qui rédigent ces missives sont des gens ignorants qui vous donnent du Cher monsieur, ou Cher monsieur Untel, et vous envoient leurs salutations cordiales ou autres familiarités. Ce sont des libertés frappées d'un manque total d'éducation. Certains poussent l'effronterie jusqu'à vous appeler Cher ami.
Chez moi doit encore trainer un magazine de 1967 dans lequel, au nom du gouvernement, un ministre (Maurice Schumann, me semble-t-il) s'insurge contre cette pratique qu'il traite par la dérision..Benoît. a écrit : dans l'entreprise où je travaille, tout le monde se tutoie (ah ces jeunes cadres dynamiques...), même d'employé à employeur (ce qui me met toujours mal à l'aise).
C'est de circonstance, mais provisoire ; en tout cas c'est bien trouvé. Étant donné l'état d'esprit très libre et familier qui règne dans votre entreprise, vous pouvez simplifier et éviter les formules un peu ampoulées..Benoît. a écrit :Une idée :
Je vous suis reconnaissant de l'attention que vous voudrez bien accorder à ma demande, et vous adresse mes meilleurs vœux de fin d’année.
Qu'en pensez-vous ?
La France a été très longtemps attachée à des traditions et à des principes. Je me rappelle, lorsque ma tante m'a présenté une de ses camarades, nous avions 14 ans tous les trois, la camarade et moi nous disions « vous ». Il a fallu du temps pour se tutoyer.JR a écrit :Chez moi doit encore trainer un magazine de 1967 dans lequel, au nom du gouvernement, un ministre (Maurice Schumann, me semble-t-il) s'insurge contre cette pratique qu'il traite par la dérision..Benoît. a écrit : dans l'entreprise où je travaille, tout le monde se tutoie (ah ces jeunes cadres dynamiques...), même d'employé à employeur (ce qui me met toujours mal à l'aise).
Il faut préciser le contexte : à cette époque, les américains menaient une vaste offensive en Europe afin de débaucher des cadres, intellectuels, diplomés, pour répondre aux besoins de leur économie; parmi de nombreux arguments figurait l'ambiance détendue dans leurs entreprises, ce que symbolisait précisément cette pratique que vous indiquez, et qui paraissait totalement incongrue dans la France pré-soixantehuitarde.
) 
Si vous cherchez, vous verrez qu'elle n'en fait pas mystère et nous en a donné la clef. Je ne suis pas spécialiste des recherches, je pense que vous trouverez. JR vous a indiqué une rubrique qui répond à votre question.grumpythedwarf a écrit :Ce qui me fait penser à Perkele; ce n'est qu'un pseudonyme, bien sûr, mais il m'intrigue; ce k entre autre.
Mais cela est du domaine du privé, sans doute.
Ce n'est sans doute pas le lieu d'en discuter, mais les pseudos m'ont toujours interpellé ; suggestifs, originaux, sages, jusqu'à cette pudeur qui consiste en un simple prénom.
Pourrait-on en discuter, et dans quelle rubrique ?
