Pour Uruguay et Paraguay, j’aimerais bien savoir quelle est la prononciation officielle, parce que j’en ai entendu de toutes les couleurs…
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Farfelu assurément, mais n'y a-t-il pas des quantités d'anomalies et d'incongruités en français ?Marco a écrit :Je trouve cela extrêmement farfelu, d’autant plus que les autres dictionnaires ne mentionnent pas cette restriction.
C'est peut-être l'explication : la prononciation du T serait un phénomène régional. J'ai connu quelqu'un qui s'appelle BAYLE. Tout le monde ici l'appelait bèl mais quand il s'annonçait il disait baïl qui est la prononciation de chez lui dans le sud, j'ai oublié où. De même, si nous disons go-é-lan pour le goéland, j'ai dans ma famille un Breton qui dit gwélan.Jacques-André-Albert a écrit :Il y a pourtant le contre-exemple rare de l'adjectif « net », dans lequel on entend le t au singulier comme au pluriel.
D'autre part, il existe, dans certaines régions, une tendance à prononcer le t final dans de nombreux mots : la Bretagne (mais à cause de l'influence du breton), et aussi l'Anjou, dans certains noms propres finissant par t (Jouet, Vallet) et même dans des noms communs (guéret, par exemple).
Mes connections québécoises le font aussi. Surtout les -t. Le phénomène est également observable dans les séries québécoises qui passent parfois sur TV5. Un vieux reste ?Jacques a écrit : Il me revient un exemple qui me touche de près : mon père, qui n'avait perdu ni son accent ardennais ni le parler de là-bas, disait toujours « je suis prêt » en prononçant le T final comme au féminin prête. Et dans sa ville d'origine (qui est aussi la mienne) tout le monde disait ainsi. Quand il me demandait : « Alors t'es prêt' » cela faisait un effet bizarre.