Peut-être un scribe malavisé a-t-il un jour mal entendu la fin du mot "des" lorsqu'on lui dictait (un peu trop vite) un texte avec l'expression "chambre des métiers", et l'a remplacé par "de" dans ce texte sans trop se poser de questions, et depuis, son erreur se serait perpétuée?
Non, cette explication serait trop grosse et trop ridicule...
Je penserais plutôt, comme JAA, à la bêtise technocratique qui veut tout changer, et toujours de façon malheureuse. Des bureaucrates qui veulent laisser quelque chose d'eux dans le système.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).