... de ceux qui aiment y mener les autres en bateau, à la saint Glinglin de préférence.Perkele a écrit :Et les calanques grecques sont bien connues.
Wording and Co
- Jacques-André-Albert
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Angliscisme???
Et même en Autriche, où le débat fait rage!JR a écrit :J'ajouterai, pour en sourire, que les anglicismes peuvent se nicher aux pires endroits, comme on peut le constater ici :
http://www.tomsguide.fr/actualite/Somme ... ,3313.html
Pardon!!!
http://www.sudouest.fr/2012/04/18/autri ... 1-4776.php
- Jacques-André-Albert
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Chevalgate
Affaire du Watergate

J'entends de plus en plus de journalistes parler de
"chevalgate" à propos des lasagnes "enchevalées"
"Gate" signifierait donc pour eux "affaire" ou "scandale"?

J'entends de plus en plus de journalistes parler de
"chevalgate" à propos des lasagnes "enchevalées"
"Gate" signifierait donc pour eux "affaire" ou "scandale"?
Je n’ai pas appris l’anglais, par conséquent je ne sais pas le prononcer. Dans le langage écrit, chaque fois que c’est possible, j’orthographie les mots tels qu’on les entend : l'enregistrement en laève d’un one manne chaud, envoyer un imêle à mon cautche, le grine du gardaine…
Il y a de cela une dizaine d’années, pour m’amuser j’entrais dans l’un de ces magasins au nom américain qui ont fleuri dans les galeries marchandes des grandes surfaces en exhibant un mode d’emploi technique rédigé en anglais sur lequel j’avais au préalable souligné certains mots. Je m’adressais alors à celui ou celle qui semblait être le patron : « Vous qui parlez couramment l’anglais, pouvez-vous me rendre service en traduisant ces mots que je ne comprends pas ? » Résultat : deux sur trois n’en savent pas plus que moi sur la langue de Chaix Pire.
Il y a de cela une dizaine d’années, pour m’amuser j’entrais dans l’un de ces magasins au nom américain qui ont fleuri dans les galeries marchandes des grandes surfaces en exhibant un mode d’emploi technique rédigé en anglais sur lequel j’avais au préalable souligné certains mots. Je m’adressais alors à celui ou celle qui semblait être le patron : « Vous qui parlez couramment l’anglais, pouvez-vous me rendre service en traduisant ces mots que je ne comprends pas ? » Résultat : deux sur trois n’en savent pas plus que moi sur la langue de Chaix Pire.
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Dans le même genre : je lis le nom « UPEE » sur la médaille de la chienne d'un collègue.André (Georges, Raymond) a écrit :Scènes récentes de ma vie quotidienne :
Ma voisine vient d’acquérir un chien. Je lui demande comment il s’appelle :
— Api !
— Ah bon ? Pomme d’api ? dis-je en toute naïveté.
— Non, c’est « heureux » en anglais !
— Elle s'appelle huppée ?
— Non, Youpi.
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Je trouve plus raisonnable la voisine d'André qui a préféré faire correspondre le sens qu'elle voulait donner à une prononciation évidente pour ce qui lirait le nom.
Ne suis-je pas l'heureuse propriétaire d'une siamoise prénommée Cheurlée ?
Ne suis-je pas l'heureuse propriétaire d'une siamoise prénommée Cheurlée ?
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
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Je crains que ma voisine soit trop influencée, sans même s’en rendre compte, par la mode du tout anglais pour se demander ce qui est raisonnable !Perkele a écrit :Je trouve plus raisonnable la voisine d'André
Ne suis-je pas l'heureuse propriétaire d'une siamoise prénommée Cheurlée ?
« UPEE » m’inquiète en raison de l’étape nouvelle, vers la prédominance de l’anglais, que constitue l’adoption de sa graphie pour des mots français. Heureusement le phénomène est encore rare et il est bon sans doute aussi de voir l’humour de votre collègue derrière son choix !
Me consoler en constatant que « Cheurlée », après tout, contrebalance UPEE ?! Pas si sûr : les deux langues ne jouent pas dans la même cour !
Je ne peux résister à l’envie de vous conseiller de faire un tour à proximité d’une cafétéria Flunch (vous allez voir que je n’ai pas d’actions de cette société
![[sourire] :)](./images/smilies/icon_smile.gif)
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... une caissière qui n'en peut mais.André (Georges, Raymond) a écrit : Je ne peux résister à l’envie de vous conseiller de faire un tour à proximité d’une cafétéria Flunch (vous allez voir que je n’ai pas d’actions de cette sociétéLe mot « enfant » n’y est plus guère connu, on a du « kid » partout et une belle et grande affiche publicitaire que j’ai vue hier, à l’adresse des parents desdits « kids », mais qui se trouve probablement partout en France, comportait tout de même une phrase en français, si l’on peut dire : « … des cadeaux et des tickets vous SERONS remis… » (Citation approximative). J’ai informé une caissière de mon étonnement.
![[clin d'oeil] :wink:](./images/smilies/icon_wink.gif)
L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie ; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit.
Gandhi, La Jeune Inde
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Elle n’y est évidemment pour rien. Mais il s’est trouvé que quelqu’un supervisait son travail, ainsi que celui d’une de ses collègues. Les trois personnes avaient de quoi s’occuper, mais cela ne les a pas empêchées de manifester quelque intérêt pour ma remarque.
« N’en pouvoir mais » aurait sa place à la rubrique des friandises de la langue française ! Une vérification dans le Larousse ne confirme pas son emploi unique au présent, que je croyais de règle. On pourrait donc dire que la caissière n’en put mais ?!
« N’en pouvoir mais » aurait sa place à la rubrique des friandises de la langue française ! Une vérification dans le Larousse ne confirme pas son emploi unique au présent, que je croyais de règle. On pourrait donc dire que la caissière n’en put mais ?!