Je ne pense pas. Lh est classique dans les graphies de l'occitan.
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
De mémoire, il me semble que le tréma sur l'y était d'usage aux dix-septième et dix-huitième siècles. Il faudrait vérifier.
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)
Je me rends compte qu'ÿ est un peu moins rare que je pensais. Je n'avais pas pensé à Pierre LOUŸS, que je ne découvre pourtant pas aujourd'hui. La ville d'Ay ne m'était connue jusqu'à présent que sans tréma. Sous votre lien intéressant, Islwyn, je découvre Moÿ-de-l'Aisne, localité pour laquelle la petite recherche que je viens de faire m'instruit de la prononciation de « Moÿ » avec une mouillure comme dans « FAŸSSE ».
Une nouvelle devinette : quel a été le second sens de temple jusqu'au début du dix-huitième siècle ?
Quand bien nous pourrions estre sçavans du sçavoir d'autruy, au moins sages ne pouvons nous estre que de nostre propre sagesse.
(Montaigne - Essais, I, 24)