De/du roi
Vous avez raison, ça n'existe pas ou du moins, si quelqu'un l'a employé, c'est une expression purement individuelle. Diberis semble confondre avec "Prier comme un enfant de Roi" et "Donner comme un enfant de Roi" qui sont les titres pieux de deux livres écrits par l'auteur béninois Jean Pliya.
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« Ajout » intéressant d'information, en effet !Diberis a écrit :Merci cher Leclerc 92 d'y ajouter plus d'information.
Je n'ai trouvé nulle part dans la bible l'expression « enfant de Roi ». Et je me demande pourquoi l'écrivain béninois écrit « Roi » avec une majuscule. J'ai l'impression, après avoir lu les présentations des livres sous vos liens, Leclerc92, qu'il pense à des rois parfaitement humains, voire à des roitelets africains, qu'il imagine plus aptes que le commun des mortels à prier… efficacement et à être… généreux !
Je constate tristement, Diberis, que vous ne vous êtes pas intéressé à ma question ci-dessus, concernant les équivalents espagnols éventuels de « enfant de roi » et « enfant du roi ».
Lisez attentivement, les ami(e)s,
"Un enfant roi" équivaut à dire(un enfant qui est un petit tyran et capricieu), donc, j'imagine qu'un enfant DE roi, ça vaudrait dire tout le contraire, n'est-ce pas ?
"Un enfant roi" équivaut à dire(un enfant qui est un petit tyran et capricieu), donc, j'imagine qu'un enfant DE roi, ça vaudrait dire tout le contraire, n'est-ce pas ?
Dernière modification par Diberis le mer. 12 déc. 2018, 19:53, modifié 2 fois.
Claude a écrit :- Enfant roi : enfant à qui on cède tous les caprices, ce qui entraîne la domination sur ses parents.
- Enfant de roi :fils d'un vrai roi, tout simplement.
**Pour moi, "Un enfant DU roi" : fils d'un vrai roi, tout simplement, et "Un enfant DE roi" : Un enfant qui prend la place en quelque sorte d'un roi d'une façon symbolique, soit par le biais de la costume, soit dans l'imaginaire.
Dernière modification par Diberis le mer. 12 déc. 2018, 19:47, modifié 2 fois.
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(mot mis en gras par moi)Diberis a écrit :"Un enfant roi" équivaut à dire(un enfant qui est un petit tyran et capricieu), donc, j'imagine qu'un enfant DE roi, ça vaudrait dire tout le contraire, n'est-ce pas ?
Votre raisonnement m'échappe : si le contraire d'« enfant roi » est « enfant de roi », diriez-vous que le contraire de « père ministre » serait « père de ministre » ? Que l'antonyme de « mère couturière » serait « mère de couturière » ? En France, Michel DEBRÉ fut père ministre et père de ministre ! Il fut même père de plusieurs ministres ! Aucune contradiction là-dedans !
À « enfant roi » s'oppose pour moi plutôt quelque chose comme « vieillard esclave » !
Je vous comprend parfaitement mon cher André, ce que je voulais transmettre avec mon exposé c'était que quand Jean Pliya avait écrit "Prière comme una enfant DE Roi" Cet enfant-là est loin d'être capricieux, tyran et malin au sens large du terme. Me comprenez-vous ?
Dernière modification par Diberis le mer. 12 déc. 2018, 19:47, modifié 1 fois.
- Perkele
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Je lis dans la présentation de l'éditeur de ce livre :
Il me semble qu'il entend par "enfant" : pureté, naïveté, simplicité ; et par "roi" ; supériorité et éducation."Prier comme un enfant de Roi" est devenu, en quelques années, un immense succès parce qu'il a comblé l'attente de dizaines de milliers de chrétiens qui cherchaient un moyen de prier de façon simple, vivante, concrète et profondément biblique.
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Le même auteur a écrit 'Donner comme un enfant de roi"

La couverture de ce livre représente l'hagiographie de saint Martin partageant son manteau.
Il pourrait s'agir là de donner sans ostentation, avec la simplicité d'un enfant qui ne serait pas avare de ses biens alors qu'il en aurait à foison... ?
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Quoi qu'il en soit, je trouve ces titres peu clairs et, à première vue, incompatibles avec l'humilité prônée par la chrétienté.
Et un "enfant de roi" ne peut être qu'un prince, fils du roi d'on ne sait quel pays alors qu'un "enfant du roi" est le fils du roi du pays dans lequel on se trouve.
Il ne me semble pas qu'il y ait là de quoi se prendre la tête (ni de socratiser les diptères brachycères de couleur noire)
Il faut faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
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Non, je ne comprends guère que vous teniez si peu compte de ce qu'écrivent vos interlocuteurs. « Prière comme un enfant de roi » ne veut à peu près rien dire. Le titre dont nous parlons, que vous n'avez bizarrement pas voulu nous fournir en tête de ce fil, est Prier comme un enfant de Roi : on vous l'a dit et redit. Lorsque Leclerc92 vous l'a signalé, vous avez noté que vous le remerciiez d' « ajouter… [une] information » : il venait en réalité de rectifier un mot fantaisiste sous votre plume.Diberis a écrit :Je vous comprend parfaitement mon cher André, ce que je voulais transmettre avec mon exposé c'était que quand Jean Pliya avait écrit "Prière comme una enfant DE Roi" Cet enfant-là est loin d'être capricieux, tyran et malin au sens large du terme. Me comprenez-vous ?
Chers amis, si la phrase polémique de Jean Pliya : Prière comme un enfant de roi est correcte, ça devrait l'être aussi par exemple : S'exprimer comme un enfant de roi. Vous savez tous que le français n'est pas ma langue maternelle, et j'aimerais avoir de la compréhension de votre part. J'ai lu vos commentaires et parfois, ils sont contradictoires. Vraiment ce sujet reste floue pour moi. Désolé !
Dernière modification par Diberis le mer. 12 déc. 2018, 19:48, modifié 2 fois.
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Chers cotélépapoteurs francophones natifs, pourriez-vous m'indiquer si c'est moi qui rêve ou s'il s'agit d'une blague ?Diberis a écrit :si la phrase […] de Jean Pliya : Prière comme un enfant de roi est correcte […]