Je n'y avais pas pensé. :DClaude a écrit :Avec, en tête des déambulations sacrées, un ayatollah ?Perkele a écrit :Sans oublier les troménies.
C'est petit, je sais.
J'avais pourtant trouvé la carte vitale...
Je ne connaissais pas ce système, mais je le trouve intéressant; je pense qu'il peut faciliter les contrôles de la régularité du scrutin. :Dmanni-gedeon a écrit : En Suisse, les électeurs reçoivent une carte de vote lors de chaque votation. Il faut y inscrire sa date de naissance, la signer et la remettre aux personnes qui ont été désignées pour contrôler le scrutin avant de pouvoir glisser le bulletin dans l'urne.
Nous pourrions nous passer de la notre, puisqu'il est possible de voter sans l'avoir, et qu'elle n'a aucune autre utilité.manni-gedeon a écrit : Nous n'avons pas de carte d'électeur que nous garderions sur nous.
C'est très discutable en ce qui concerne « électeur » (latin elector, avec un féminin electrix) et « lecteur » (lector, lectrix). Peut-on, en français, faire comme si lectrice et électrice n'existaient pas ? Par ailleurs les femmes ont été privées du droit de vote pendant très longtemps et je comprends que « carte d'électeur » ait pu et puisse encore être ressenti comme sexiste. N'a-t-on pas voulu, sous l'influence d'authentiques épicènes traditionnels comme professeur, un peu forcer le destin en ce qui concerne lecteur et électeur, eux non épicènes ?Jacques-André-Albert a écrit :Les furies féministes n'ont jamais compris qu'il existait une forme qui englobait à la fois le masculin et le féminin.